Le temps qui passe. Extérieurs et intérieurs d’ habitations condamnées à la démolition dans différents quartiers de Rouen et des environs. Le temps et la dégradation sociale avaient eu raison de ces tours et immeubles dont l’éclosion démarra à l’aube des années 60. « On veut nous effacer » avait dit cet homme, « on » impersonnel désignant ceux d’en haut, ceux qui décident, ceux qui vont faire disparaître des moments de vie. L’effacement est ici très présent, des bâtiments, des paysages urbains disparaissent, semblent parfois s’évanouir. Les intérieurs aussi, laissant place à un certain désordre, celui d’objets, de vêtements abandonnés, des papiers peints délavés, déchirés. Parfois des personnages, ombres d’un passé occulté paraissent s’incruster ou revisiter, fantomatiques, les lieux abandonnés. Dans l’embrasure d’une porte, la béance d’une fenêtre pousse l’arbre adopté, enracinement de la vie, résilience nécessaire de l’éternel recommencement.
© Marie-Hélène LABAT / Divergence
Le temps qui passe. Extérieurs et intérieurs d’ habitations condamnées à la démolition dans différents quartiers de Rouen et des environs. Le temps et la dégradation sociale avaient eu raison de ces tours et immeubles dont l’éclosions démarra à l’aube des années 60. « On veut nous effacer » avait dit cet homme, « on » impersonnel désignant ceux d’en haut, ceux qui décident, ceux qui vont faire disparaître des moments de vie. L’effacement est ici très présent, des bâtiments, des paysages urbains disparaissent, semblent parfois s’évanouir. Les intérieurs aussi, laissant place à un certain désordre, celui d’objets, de vêtements abandonnés, des papiers peints délavés, déchirés. Parfois des personnages, ombres d’un passé occulté paraissent s’incruster ou revisiter, fantomatiques, les lieux abandonnés. Dans l’embrasure d’une porte, la béance d’une fenêtre pousse l’arbre adopté, enracinement de la vie, résilience nécessaire de l’éternel recommencement.
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