Avec le confinement et les mesures liées à la COVID 19, les individus doivent se distancier des autres pour se protéger du virus. Comment cette distance se manifeste t-elle aujourd'hui dans le rapport à nos proches? Que restera-t-il demain de cette distanciation ? C'est ce que la photographe Sabrina Dolidze a chercher à identifier en réalisant un micro-trottoir à Paris. Elle a demandé aux personnes marchant à deux dans la rue de se saluer de la même façon qu'ils l'avaient fait en se voyant le jour-même. Quelles que soient les relations entre les individus (parents/enfants, amis, collègues, couples...), la photo fige très souvent une certaine distance. Le regard devient plus important, les mains et les corps montrent l'embarras de la situation comme si l'on ne savait plus comment faire pour se dire bonjour.
© Sabrina DOLIDZE / Divergence
Bérangère et Elodie sont amies. Elles se disent bonjour sur le pont Léopold Senghor à Paris. Savons nous encore nous dire bonjour ? Avec le confinement et les mesures liées à la COVID 19, les individus doivent se distancier des autres pour se protéger du virus. Comment cette distance se manifeste t-elle aujourd'hui dans le rapport à nos proches? Que restera-t-il demain de cette distanciation ? C'est ce que la photographe Sabrina Dolidze a chercher à identifier en réalisant un micro-trottoir à Paris. Elle a demandé aux personnes marchant à deux dans la rue de se saluer de la même façon qu'ils l'avaient fait en se voyant le jour-même. Quelles que soient les relations entre les individus (parents/enfants, amis, collègues, couples...), la photo fige très souvent une certaine distance. Le regard devient plus important, les mains et les corps montrent l'embarras de la situation comme si l'on ne savait plus comment faire pour se dire bonjour. Bérangère and Elodie are friends. They say hello to each other on the Léopold Senghor bridge in Paris. Can we still say hello? With the containment and measures related to COVID 19, individuals must distance themselves from others to protect themselves from the virus. How does this distance manifest itself today in the relationship with our loved ones? What will remain of this distancing tomorrow? This is what the photographer Sabrina Dolidze tried to identify by conducting a micro-trottoir in Paris. She asked people walking in pairs in the street to greet each other in the same way they had done when they saw each other that day. Whatever the relationship between individuals (parents/children, friends, colleagues, couples...), the photo very often freezes a certain distance. The look becomes more important, the hands and the bodies show the embarrassment of the situation as if one did not know how to say hello anymore.
Habitués à se faire de gros bisous, Karina sert dans ses bras son fils Ruben dans le jardin des Tuileries à Paris. Savons nous encore nous dire bonjour ? Avec le confinement et les mesures liées à la COVID 19, les individus doivent se distancier des autres pour se protéger du virus. Comment cette distance se manifeste t-elle aujourd'hui dans le rapport à nos proches? Que restera-t-il demain de cette distanciation ? C'est ce que la photographe Sabrina Dolidze a chercher à identifier en réalisant un micro-trottoir à Paris. Elle a demandé aux personnes marchant à deux dans la rue de se saluer de la même façon qu'ils l'avaient fait en se voyant le jour-même. Quelles que soient les relations entre les individus (parents/enfants, amis, collègues, couples...), la photo fige très souvent une certaine distance. Le regard devient plus important, les mains et les corps montrent l'embarras de la situation comme si l'on ne savait plus comment faire pour se dire bonjour. Accustomed to give each other big kisses, Karina serves in her arms her son Ruben in the Tuileries garden in Paris. Can we still say hello? With the containment and measures related to COVID 19, individuals must distance themselves from others to protect themselves from the virus. How does this distance manifest itself today in the relationship with our loved ones? What will remain of this distancing tomorrow? This is what the photographer Sabrina Dolidze tried to identify by conducting a micro-trottoir in Paris. She asked people walking in pairs in the street to greet each other in the same way they had done when they saw each other that day. Whatever the relationship between individuals (parents/children, friends, colleagues, couples...), the photo very often freezes a certain distance. The look becomes more important, the hands and the bodies show the embarrassment of the situation as if one did not know how to say hello anymore.
Stéphanie et sa fille Anaïs se disent bonjour dans le jardin des Tuileries à Paris, pas question pour elles de se faire la bise compte tenu des risques sanitaires. Savons nous encore nous dire bonjour ? Avec le confinement et les mesures liees à la COVID 19, les individus doivent se distancier des autres pour se protéger du virus. Comment cette distance se manifeste t-elle aujourd'hui dans le rapport à nos proches? Que restera-t-il demain de cette distanciation ? C'est ce que la photographe Sabrina Dolidze a chercher à identifier en réalisant un micro-trottoir à Paris. Elle a demandé aux personnes marchant à deux dans la rue de se saluer de la même façon qu'ils l'avaient fait en se voyant le jour-même. Quelles que soient les relations entre les individus (parents/enfants, amis, collègues, couples...), la photo fige très souvent une certaine distance. Le regard devient plus important, les mains et les corps montrent l'embarras de la situation comme si l'on ne savait plus comment faire pour se dire bonjour. Stéphanie and her daughter Anaïs say hello to each other in the Tuileries garden in Paris. There's no question of them kissing each other in view of the risks. Can we still say hello? With the containment and measures related to COVID 19, individuals must distance themselves from others to protect themselves from the virus. How does this distance manifest itself today in the relationship with our loved ones? What will remain of this distancing tomorrow? This is what the photographer Sabrina Dolidze tried to identify by conducting a micro-trottoir in Paris. She asked people walking in pairs in the street to greet each other in the same way they had done when they saw each other that day. Whatever the relationship between individuals (parents/children, friends, colleagues, couples...), the photo very often freezes a certain distance. The look becomes more important, the hands and the bodies show the embarrassment of the situation as if one did no
Kadeic et Moussa sont livreurs, ils se saluent avec le coude dans le quartier des Halles à Paris. Savons nous encore nous dire bonjour ? Avec le confinement et les mesures liées à la COVID 19, les individus doivent se distancier des autres pour se protéger du virus. Comment cette distance se manifeste t-elle aujourd'hui dans le rapport à nos proches? Que restera-t-il demain de cette distanciation ? C'est ce que la photographe Sabrina Dolidze a chercher à identifier en réalisant un micro-trottoir à Paris. Elle a demandé aux personnes marchant à deux dans la rue de se saluer de la même façon qu'ils l'avaient fait en se voyant le jour-même. Quelles que soient les relations entre les individus (parents/enfants, amis, collègues, couples...), la photo fige très souvent une certaine distance. Le regard devient plus important, les mains et les corps montrent l'embarras de la situation comme si l'on ne savait plus comment faire pour se dire bonjour. Can we still say hello? With the containment and measures related to COVID 19, individuals must distance themselves from others to protect themselves from the virus. How does this distance manifest itself today in the relationship with our loved ones? What will remain of this distancing tomorrow? This is what the photographer Sabrina Dolidze tried to identify by conducting a micro-trottoir in Paris. She asked people walking in pairs in the street to greet each other in the same way they had done when they saw each other that day. Whatever the relationship between individuals (parents/children, friends, colleagues, couples...), the photo very often freezes a certain distance. The look becomes more important, the hands and the bodies show the embarrassment of the situation as if one did not know how to say hello anymore.
Kaudy et Prescillia sont en couple. Ils ont démarré leur relation pendant le confinement. Ils s'embrassent dans le quartier des Halles à Paris. Savons nous encore nous dire bonjour ? Avec le confinement et les mesures liées à la COVID 19, les individus doivent se distancier des autres pour se protéger du virus. Comment cette distance se manifeste t-elle aujourd'hui dans le rapport à nos proches? Que restera-t-il demain de cette distanciation ? C'est ce que la photographe Sabrina Dolidze a chercher à identifier en réalisant un micro-trottoir à Paris. Elle a demandé aux personnes marchant à deux dans la rue de se saluer de la même façon qu'ils l'avaient fait en se voyant le jour-même. Quelles que soient les relations entre les individus (parents/enfants, amis, collègues, couples...), la photo fige très souvent une certaine distance. Le regard devient plus important, les mains et les corps montrent l'embarras de la situation comme si l'on ne savait plus comment faire pour se dire bonjour. Kaudy and Prescillia are a couple and started their relationship during confinement. They kiss each other in the Les Halles district in Paris. Can we still say hello? With the containment and measures related to COVID 19, individuals must distance themselves from others to protect themselves from the virus. How does this distance manifest itself today in the relationship with our loved ones? What will remain of this distancing tomorrow? This is what the photographer Sabrina Dolidze tried to identify by conducting a micro-trottoir in Paris. She asked people walking in pairs in the street to greet each other in the same way they had done when they saw each other that day. Whatever the relationship between individuals (parents/children, friends, colleagues, couples...), the photo very often freezes a certain distance. The look becomes more important, the hands and the bodies show the embarrassment of the situation as if one did not know how to say hello anymo
Amis, Hélène et Antoine se saluent dans le quartier des Halles à Paris. Friends, Hélène and Antoine greet each other in the Halles district in Paris. Savons nous encore nous dire bonjour ? Avec le confinement et les mesures liées à la COVID 19, les individus doivent se distancier des autres pour se protéger du virus. Comment cette distance se manifeste t-elle aujourd'hui dans le rapport à nos proches? Que restera-t-il demain de cette distanciation ? C'est ce que la photographe Sabrina Dolidze a chercher à identifier en réalisant un micro-trottoir à Paris. Elle a demandé aux personnes marchant à deux dans la rue de se saluer de la même façon qu'ils l'avaient fait en se voyant le jour-même. Quelles que soient les relations entre les individus (parents/enfants, amis, collègues, couples...), la photo fige très souvent une certaine distance. Le regard devient plus important, les mains et les corps montrent l'embarras de la situation comme si l'on ne savait plus comment faire pour se dire bonjour. Can we still say hello? With the containment and measures related to COVID 19, individuals must distance themselves from others to protect themselves from the virus. How does this distance manifest itself today in the relationship with our loved ones? What will remain of this distancing tomorrow? This is what the photographer Sabrina Dolidze tried to identify by conducting a micro-trottoir in Paris. She asked people walking in pairs in the street to greet each other in the same way they had done when they saw each other that day. Whatever the relationship between individuals (parents/children, friends, colleagues, couples...), the photo very often freezes a certain distance. The look becomes more important, the hands and the bodies show the embarrassment of the situation as if one did not know how to say hello anymore.
Inès et Anaïs sont petites cousines. et se disent bonjour au Châtelet Elle ne se font plus la bise depuis le Covid mais attribuent une importance particulière au regard pour se saluer. Savons nous encore nous dire bonjour ? Avec le confinement et les mesures liées à la COVID 19, les individus doivent se distancier des autres pour se protéger du virus. Comment cette distance se manifeste t-elle aujourd'hui dans le rapport à nos proches? Que restera-t-il demain de cette distanciation ? C'est ce que la photographe Sabrina Dolidze a chercher à identifier en réalisant un micro-trottoir à Paris. Elle a demandé aux personnes marchant à deux dans la rue de se saluer de la même façon qu'ils l'avaient fait en se voyant le jour-même. Quelles que soient les relations entre les individus (parents/enfants, amis, collègues, couples...), la photo fige très souvent une certaine distance. Le regard devient plus important, les mains et les corps montrent l'embarras de la situation comme si l'on ne savait plus comment faire pour se dire bonjour. Inès and Anaïs are little cousins. They don't kiss each other from the Covid anymore but give a particular importance to the look to greet each other. Can we still say hello? With the containment and measures related to COVID 19, individuals must distance themselves from others to protect themselves from the virus. How does this distance manifest itself today in the relationship with our loved ones? What will remain of this distancing tomorrow? This is what the photographer Sabrina Dolidze tried to identify by conducting a micro-trottoir in Paris. She asked people walking in pairs in the street to greet each other in the same way they had done when they saw each other that day. Whatever the relationship between individuals (parents/children, friends, colleagues, couples...), the photo very often freezes a certain distance. The look becomes more important, the hands and the bodies show the embarrassment of the situation as if one did not know how
Alexia et Ema sont des amies très proches, elles se saluent dans la quartier des Halles à Paris. Savons nous encore nous dire bonjour ? Avec le confinement et les mesures liées à la COVID 19, les individus doivent se distancier des autres pour se protéger du virus. Comment cette distance se manifeste t-elle aujourd'hui dans le rapport à nos proches? Que restera-t-il demain de cette distanciation ? C'est ce que la photographe Sabrina Dolidze a chercher à identifier en réalisant un micro-trottoir à Paris. Elle a demandé aux personnes marchant à deux dans la rue de se saluer de la même façon qu'ils l'avaient fait en se voyant le jour-même. Quelles que soient les relations entre les individus (parents/enfants, amis, collègues, couples...), la photo fige très souvent une certaine distance. Le regard devient plus important, les mains et les corps montrent l'embarras de la situation comme si l'on ne savait plus comment faire pour se dire bonjour. Alexia and Ema are very close friends, they greet each other in the Halles district in Paris. Can we still say hello? With the containment and measures related to COVID 19, individuals must distance themselves from others to protect themselves from the virus. How does this distance manifest itself today in the relationship with our loved ones? What will remain of this distancing tomorrow? This is what the photographer Sabrina Dolidze tried to identify by conducting a micro-trottoir in Paris. She asked people walking in pairs in the street to greet each other in the same way they had done when they saw each other that day. Whatever the relationship between individuals (parents/children, friends, colleagues, couples...), the photo very often freezes a certain distance. The look becomes more important, the hands and the bodies show the embarrassment of the situation as if one did not know how to say hello anymore.
Amies, Rizlaine et Mira des Hauts de Seine se saluent sur la passerelle Léopold Sanghor à Paris. Depiuis le Covid, elles ne s'embrassent plus. Savons nous encore nous dire bonjour ? Avec le confinement et les mesures liées à la COVID 19, les individus doivent se distancier des autres pour se protéger du virus. Comment cette distance se manifeste t-elle aujourd'hui dans le rapport à nos proches? Que restera-t-il demain de cette distanciation ? C'est ce que la photographe Sabrina Dolidze a chercher à identifier en réalisant un micro-trottoir à Paris. Elle a demandé aux personnes marchant à deux dans la rue de se saluer de la même façon qu'ils l'avaient fait en se voyant le jour-même. Quelles que soient les relations entre les individus (parents/enfants, amis, collègues, couples...), la photo fige très souvent une certaine distance. Le regard devient plus important, les mains et les corps montrent l'embarras de la situation comme si l'on ne savait plus comment faire pour se dire bonjour. Rizlaine and Mira des Hauts de Seine are friends and greet each other on the Léopold Sanghor footbridge in Paris. Since the Covid, they don't kiss anymore. Can we still say hello? With the containment and measures related to COVID 19, individuals must distance themselves from others to protect themselves from the virus. How does this distance manifest itself today in the relationship with our loved ones? What will remain of this distancing tomorrow? This is what the photographer Sabrina Dolidze tried to identify by conducting a micro-trottoir in Paris. She asked people walking in pairs in the street to greet each other in the same way they had done when they saw each other that day. Whatever the relationship between individuals (parents/children, friends, colleagues, couples...), the photo very often freezes a certain distance. The look becomes more important, the hands and the bodies show the embarrassment of the situation as if one did not know how to say
Pauline et Julien sont pacsés. En tourisme à Paris, ils s'embrassent dans le jardin des Tuileries. Savons nous encore nous dire bonjour ? Avec le confinement et les mesures liées à la COVID 19, les individus doivent se distancier des autres pour se protéger du virus. Comment cette distance se manifeste t-elle aujourd'hui dans le rapport à nos proches? Que restera-t-il demain de cette distanciation ? C'est ce que la photographe Sabrina Dolidze a chercher à identifier en réalisant un micro-trottoir à Paris. Elle a demandé aux personnes marchant à deux dans la rue de se saluer de la même façon qu'ils l'avaient fait en se voyant le jour-même. Quelles que soient les relations entre les individus (parents/enfants, amis, collègues, couples...), la photo fige très souvent une certaine distance. Le regard devient plus important, les mains et les corps montrent l'embarras de la situation comme si l'on ne savait plus comment faire pour se dire bonjour. Pauline and Julien are paired. While sightseeing in Paris, they kiss in the Tuileries garden. Can we still say hello? With the containment and measures related to COVID 19, individuals must distance themselves from others to protect themselves from the virus. How does this distance manifest itself today in the relationship with our loved ones? What will remain of this distancing tomorrow? This is what the photographer Sabrina Dolidze tried to identify by conducting a micro-trottoir in Paris. She asked people walking in pairs in the street to greet each other in the same way they had done when they saw each other that day. Whatever the relationship between individuals (parents/children, friends, colleagues, couples...), the photo very often freezes a certain distance. The look becomes more important, the hands and the bodies show the embarrassment of the situation as if one did not know how to say hello anymore.