Un article d’Anne-Lise Ducluzeau (extraits). Sur l'île de Kodiak, située dans le golfe d’Alaska, l'âge d’or du cabillaud a succédé à celui du crabe royal après un effondrement de la population de ces derniers et la fermeture de leur pêche en 1983. La pêche au cabillaud devient alors la source principale de revenu hivernal sur l'île. À la fin du « Blob » en 2017, la quantité de cabillaud a diminué de 70 % dans le golfe. Son quota est réduit de 80 %. Depuis, la population n’a toujours pas rebondi. Avec un nombre croissant de chalutiers qui entrent en compétition, la pêche devient progressivement plus rapide et difficile pour les hommes de Kodiak. En décembre 2019, une nouvelle saison s’ouvre en mer de Béring mais la pêche au cabillaud reste fermée dans les eaux fédérales du golfe. Pour les pêcheurs dont les navires ne sont pas adaptés aux eaux agitées du Nord, il s’agit de trouver une nouvelle activité. Sans surprise, en mars 2020, la certification de durabilité de la pêche est suspendue pour la zone du golfe. Sur un quai du port, Walter Sargent, 90 ans passés, propriétaire de chalutier depuis 70 ans, vient accueillir l'équipage de son bateau tout juste rentré de quatre mois passés en mer de Béring. La famille de Walter s’est établie sur l'île en 1867. Walter désigne le port : « Cela fait trente-huit ans qu’il n’a pas gelé en hiver. » [.../...] Article complet sur demande.
© Elisabeth RULL / Divergence
Alaska, les sentinelles du changement climatique. Turnagain Arm à l'Est d'Anchorage est un bras de mer vers les grands glaciers. La route longe qui longe ce bras de mer mène aussi vers la ville isolée de Whittier. Au mois de mars, la glace commence à y bouger et se disloquer, créant des mouvements en surface. Les légendes et l’article sont de la scientifique Anne-Lise Ducluzeau. Textes et photographies réalisées initialement pour une commande pour Le Figaro Magazine. Alaska, les sentinelles du changement climatique. Turnagain Arm à l'Est d'Anchorage est un bras de mer vers les grands glaciers. La route longe qui longe ce bras de mer mène aussi vers la ville isolée de Whittier. Au mois de mars, la glace commence à y bouger et se disloquer, créant des mouvements en surface. Les légendes et l’article sont de la scientifique Anne-Lise Ducluzeau. Textes et photographies réalisées initialement pour une commande pour Le Figaro Magazine.
Alaska, les sentinelles du changement climatique. Sur l'île de Kodiak, située dans le golfe d’Alaska, l'âge d’or du cabillaud a succédé à celui du crabe royal après un effondrement de la population de ces derniers et la fermeture de leur pêche en 1983. La pêche au cabillaud devient alors la source principale de revenu hivernal sur l'île. À la fin du « Blob » en 2017, la quantité de cabillaud a diminué de 70 % dans le golfe. Son quota est réduit de 80 %. Depuis, la population n’a toujours pas rebondi. Avec un nombre croissant de chalutiers qui entrent en compétition, la pêche devient progressivement plus rapide et difficile pour les hommes de Kodiak. En décembre 2019, une nouvelle saison s’ouvre en mer de Béring mais la pêche au cabillaud reste fermée dans les eaux fédérales du golfe. Pour les pêcheurs dont les navires ne sont pas adaptés aux eaux agitées du Nord, il s’agit de trouver une nouvelle activité. Sans surprise, en mars 2020, la certification de durabilité de la pêche est suspendue pour la zone du golfe. L'équipage du chalutier "Afognak Strait" rentre au port après une campagne de pêche de quatre mois en mer de Béring. Ils ont pu débarquer près de 1 300 tonnes à Akuthan. Article d'Anne-Lise Ducluzeau et photographies réalisées pour une commande pour Le Figaro Magazine.
Alaska, les sentinelles du changement climatique. Sur l'île de Kodiak, située dans le golfe d’Alaska, l'âge d’or du cabillaud a succédé à celui du crabe royal après un effondrement de la population de ces derniers et la fermeture de leur pêche en 1983. La pêche au cabillaud devient alors la source principale de revenu hivernal sur l'île. À la fin du « Blob » en 2017, la quantité de cabillaud a diminué de 70 % dans le golfe. Son quota est réduit de 80 %. Depuis, la population n’a toujours pas rebondi. Avec un nombre croissant de chalutiers qui entrent en compétition, la pêche devient progressivement plus rapide et difficile pour les hommes de Kodiak. En décembre 2019, une nouvelle saison s’ouvre en mer de Béring mais la pêche au cabillaud reste fermée dans les eaux fédérales du golfe. Pour les pêcheurs dont les navires ne sont pas adaptés aux eaux agitées du Nord, il s’agit de trouver une nouvelle activité. Sans surprise, en mars 2020, la certification de durabilité de la pêche est suspendue pour la zone du golfe. Les légendes et l’article sont de la scientifique Anne-Lise Ducluzeau. Textes et photographies réalisées initialement pour une commande pour Le Figaro Magazine.
Alaska, les sentinelles du changement climatique. Sur l'île de Kodiak, située dans le golfe d’Alaska, l'âge d’or du cabillaud a succédé à celui du crabe royal après un effondrement de la population de ces derniers et la fermeture de leur pêche en 1983. La pêche au cabillaud devient alors la source principale de revenu hivernal sur l'île. À la fin du « Blob » en 2017, la quantité de cabillaud a diminué de 70 % dans le golfe. Son quota est réduit de 80 %. Depuis, la population n’a toujours pas rebondi. Avec un nombre croissant de chalutiers qui entrent en compétition, la pêche devient progressivement plus rapide et difficile pour les hommes de Kodiak. En décembre 2019, une nouvelle saison s’ouvre en mer de Béring mais la pêche au cabillaud reste fermée dans les eaux fédérales du golfe. Pour les pêcheurs dont les navires ne sont pas adaptés aux eaux agitées du Nord, il s’agit de trouver une nouvelle activité. Sans surprise, en mars 2020, la certification de durabilité de la pêche est suspendue pour la zone du golfe. Dany Hiche, pêcheur et propriétaire de quelques chaluts, dont son préféré, le "New Song". Les légendes et l’article sont de la scientifique Anne-Lise Ducluzeau. Textes et photographies réalisées initialement pour une commande pour Le Figaro Magazine.
Alaska, les sentinelles du changement climatique. Sur l'île de Kodiak, située dans le golfe d’Alaska, l'âge d’or du cabillaud a succédé à celui du crabe royal après un effondrement de la population de ces derniers et la fermeture de leur pêche en 1983. La pêche au cabillaud devient alors la source principale de revenu hivernal sur l'île. À la fin du « Blob » en 2017, la quantité de cabillaud a diminué de 70 % dans le golfe. Son quota est réduit de 80 %. Depuis, la population n’a toujours pas rebondi. Avec un nombre croissant de chalutiers qui entrent en compétition, la pêche devient progressivement plus rapide et difficile pour les hommes de Kodiak. En décembre 2019, une nouvelle saison s’ouvre en mer de Béring mais la pêche au cabillaud reste fermée dans les eaux fédérales du golfe. Pour les pêcheurs dont les navires ne sont pas adaptés aux eaux agitées du Nord, il s’agit de trouver une nouvelle activité. Sans surprise, en mars 2020, la certification de durabilité de la pêche est suspendue pour la zone du golfe. Les légendes et l’article sont de la scientifique Anne-Lise Ducluzeau. Textes et photographies réalisées initialement pour une commande pour Le Figaro Magazine.
Alaska, les sentinelles du changement climatique. Sur l'île de Kodiak, située dans le golfe d’Alaska, l'âge d’or du cabillaud a succédé à celui du crabe royal après un effondrement de la population de ces derniers et la fermeture de leur pêche en 1983. La pêche au cabillaud devient alors la source principale de revenu hivernal sur l'île. À la fin du « Blob » en 2017, la quantité de cabillaud a diminué de 70 % dans le golfe. Son quota est réduit de 80 %. Depuis, la population n’a toujours pas rebondi. Avec un nombre croissant de chalutiers qui entrent en compétition, la pêche devient progressivement plus rapide et difficile pour les hommes de Kodiak. En décembre 2019, une nouvelle saison s’ouvre en mer de Béring mais la pêche au cabillaud reste fermée dans les eaux fédérales du golfe. Pour les pêcheurs dont les navires ne sont pas adaptés aux eaux agitées du Nord, il s’agit de trouver une nouvelle activité. Sans surprise, en mars 2020, la certification de durabilité de la pêche est suspendue pour la zone du golfe. Les éoliennes dominent les collines au dessus du port de Kodiak. L'île est presque autosuffisante en énergie. Les légendes et l’article sont de la scientifique Anne-Lise Ducluzeau. Textes et photographies réalisées initialement pour une commande pour Le Figaro Magazine.
Alaska, les sentinelles du changement climatique. Sur l'île de Kodiak, située dans le golfe d’Alaska, l'âge d’or du cabillaud a succédé à celui du crabe royal après un effondrement de la population de ces derniers et la fermeture de leur pêche en 1983. La pêche au cabillaud devient alors la source principale de revenu hivernal sur l'île. À la fin du « Blob » en 2017, la quantité de cabillaud a diminué de 70 % dans le golfe. Son quota est réduit de 80 %. Depuis, la population n’a toujours pas rebondi. Avec un nombre croissant de chalutiers qui entrent en compétition, la pêche devient progressivement plus rapide et difficile pour les hommes de Kodiak. En décembre 2019, une nouvelle saison s’ouvre en mer de Béring mais la pêche au cabillaud reste fermée dans les eaux fédérales du golfe. Pour les pêcheurs dont les navires ne sont pas adaptés aux eaux agitées du Nord, il s’agit de trouver une nouvelle activité. Sans surprise, en mars 2020, la certification de durabilité de la pêche est suspendue pour la zone du golfe. Toby Sullivan est un ancien pêcheur aujourd'hui directeur du musée de la pêche du port de Kodiak, avec entre autres, le projet de restauration du plus ancien chalut du port, le "Thelma C". Son fils, pêcheur lui aussi, est capitaine du navire "l'Alaskan Star", qui vient de rentrer d'une campagne de pêche en mer de Bering. Les légendes et l’article sont de la scientifique Anne-Lise Ducluzeau. Textes et photographies réalisées initialement pour une commande pour Le Figaro Magazine.
Alaska, les sentinelles du changement climatique. Sur l'île de Kodiak, située dans le golfe d’Alaska, l'âge d’or du cabillaud a succédé à celui du crabe royal après un effondrement de la population de ces derniers et la fermeture de leur pêche en 1983. La pêche au cabillaud devient alors la source principale de revenu hivernal sur l'île. À la fin du « Blob » en 2017, la quantité de cabillaud a diminué de 70 % dans le golfe. Son quota est réduit de 80 %. Depuis, la population n’a toujours pas rebondi. Avec un nombre croissant de chalutiers qui entrent en compétition, la pêche devient progressivement plus rapide et difficile pour les hommes de Kodiak. En décembre 2019, une nouvelle saison s’ouvre en mer de Béring mais la pêche au cabillaud reste fermée dans les eaux fédérales du golfe. Pour les pêcheurs dont les navires ne sont pas adaptés aux eaux agitées du Nord, il s’agit de trouver une nouvelle activité. Sans surprise, en mars 2020, la certification de durabilité de la pêche est suspendue pour la zone du golfe. Walter Sargent, 90 ans passés, propriétaire de chalutiers depuis 70 ans, vient accueillir l'équipage de son bateau tout juste rentré de quatre mois passés en mer de Béring. La famille de Walter s’est établie sur l'île en 1867. Walter désigne le port : « Cela fait trente-huit ans qu’il n’a pas gelé en hiver. » Les légendes et l’article sont de la scientifique Anne-Lise Ducluzeau. Textes et photographies réalisées initialement pour une commande pour Le Figaro Magazine.
Alaska, les sentinelles du changement climatique. Sur l'île de Kodiak, située dans le golfe d’Alaska, l'âge d’or du cabillaud a succédé à celui du crabe royal après un effondrement de la population de ces derniers et la fermeture de leur pêche en 1983. La pêche au cabillaud devient alors la source principale de revenu hivernal sur l'île. À la fin du « Blob » en 2017, la quantité de cabillaud a diminué de 70 % dans le golfe. Son quota est réduit de 80 %. Depuis, la population n’a toujours pas rebondi. Avec un nombre croissant de chalutiers qui entrent en compétition, la pêche devient progressivement plus rapide et difficile pour les hommes de Kodiak. En décembre 2019, une nouvelle saison s’ouvre en mer de Béring mais la pêche au cabillaud reste fermée dans les eaux fédérales du golfe. Pour les pêcheurs dont les navires ne sont pas adaptés aux eaux agitées du Nord, il s’agit de trouver une nouvelle activité. Sans surprise, en mars 2020, la certification de durabilité de la pêche est suspendue pour la zone du golfe. L'île de Kodiak est aussi célèbre auprès des touristes pour ses paysages somptueux, une nature sauvage et une faune remarquable (lions de mer, aigles, loutres, biches, bisons,ours, saumons rouges etc...). Les lions de mer viennent quémander des poissons "au cul du bateau" qui rentrent de pêche au moment où les pêcheurs nettoient les bateaux et les filets. Il est interdit de nourrir la faune sauvage mais les lions de mer insistent... Les légendes et l’article sont de la scientifique Anne-Lise Ducluzeau. Textes et photographies réalisées initialement pour une commande pour Le Figaro Magazine.
Alaska, les sentinelles du changement climatique. Sur l'île de Kodiak, située dans le golfe d’Alaska, l'âge d’or du cabillaud a succédé à celui du crabe royal après un effondrement de la population de ces derniers et la fermeture de leur pêche en 1983. La pêche au cabillaud devient alors la source principale de revenu hivernal sur l'île. À la fin du « Blob » en 2017, la quantité de cabillaud a diminué de 70 % dans le golfe. Son quota est réduit de 80 %. Depuis, la population n’a toujours pas rebondi. Avec un nombre croissant de chalutiers qui entrent en compétition, la pêche devient progressivement plus rapide et difficile pour les hommes de Kodiak. En décembre 2019, une nouvelle saison s’ouvre en mer de Béring mais la pêche au cabillaud reste fermée dans les eaux fédérales du golfe. Pour les pêcheurs dont les navires ne sont pas adaptés aux eaux agitées du Nord, il s’agit de trouver une nouvelle activité. Sans surprise, en mars 2020, la certification de durabilité de la pêche est suspendue pour la zone du golfe. L'île de Kodiak est aussi célèbre auprès des touristes pour ses paysages somptueux, une nature sauvage et une faune remarquable (lions de mer, aigles, loutres, biches, bisons,ours, saumons rouges etc...). Les lions de mer viennent quémander des poissons "au cul du bateau" qui rentrent de pêche au moment où les pêcheurs nettoient les bateaux et les filets. Il est interdit de nourrir la faune sauvage mais les lions de mer insistent... Les légendes et l’article sont de la scientifique Anne-Lise Ducluzeau. Textes et photographies réalisées initialement pour une commande pour Le Figaro Magazine.
Alaska, les sentinelles du changement climatique. Sur l'île de Kodiak, située dans le golfe d’Alaska, l'âge d’or du cabillaud a succédé à celui du crabe royal après un effondrement de la population de ces derniers et la fermeture de leur pêche en 1983. La pêche au cabillaud devient alors la source principale de revenu hivernal sur l'île. À la fin du « Blob » en 2017, la quantité de cabillaud a diminué de 70 % dans le golfe. Son quota est réduit de 80 %. Depuis, la population n’a toujours pas rebondi. Avec un nombre croissant de chalutiers qui entrent en compétition, la pêche devient progressivement plus rapide et difficile pour les hommes de Kodiak. En décembre 2019, une nouvelle saison s’ouvre en mer de Béring mais la pêche au cabillaud reste fermée dans les eaux fédérales du golfe. Pour les pêcheurs dont les navires ne sont pas adaptés aux eaux agitées du Nord, il s’agit de trouver une nouvelle activité. Sans surprise, en mars 2020, la certification de durabilité de la pêche est suspendue pour la zone du golfe. Walter Sargent, 90 ans passés, propriétaire de chalutiers depuis 70 ans, vient accueillir l'équipage de son bateau tout juste rentré de quatre mois passés en mer de Béring. La famille de Walter s’est établie sur l'île en 1867. Walter désigne le port : « Cela fait trente-huit ans qu’il n’a pas gelé en hiver. » L'équipage du chalutier "Afognak Strait" rentre au port après une campagne de pêche de quatre mois en mer de Béring. Ils ont pu débarquer près de 1 300 tonnes à Akuthan. Les légendes et l’article sont de la scientifique Anne-Lise Ducluzeau. Textes et photographies réalisées initialement pour une commande pour Le Figaro Magazine.
Alaska, les sentinelles du changement climatique. Sur l'île de Kodiak, située dans le golfe d’Alaska, l'âge d’or du cabillaud a succédé à celui du crabe royal après un effondrement de la population de ces derniers et la fermeture de leur pêche en 1983. La pêche au cabillaud devient alors la source principale de revenu hivernal sur l'île. À la fin du « Blob » en 2017, la quantité de cabillaud a diminué de 70 % dans le golfe. Son quota est réduit de 80 %. Depuis, la population n’a toujours pas rebondi. Avec un nombre croissant de chalutiers qui entrent en compétition, la pêche devient progressivement plus rapide et difficile pour les hommes de Kodiak. En décembre 2019, une nouvelle saison s’ouvre en mer de Béring mais la pêche au cabillaud reste fermée dans les eaux fédérales du golfe. Pour les pêcheurs dont les navires ne sont pas adaptés aux eaux agitées du Nord, il s’agit de trouver une nouvelle activité. Sans surprise, en mars 2020, la certification de durabilité de la pêche est suspendue pour la zone du golfe. L'équipage du chalutier "Afognak Strait" rentre au port après une campagne de pêche de quatre mois en mer de Béring. Ils ont pu débarquer près de 1 300 tonnes à Akuthan. Les légendes et l’article sont de la scientifique Anne-Lise Ducluzeau. Textes et photographies réalisées initialement pour une commande pour Le Figaro Magazine.
Alaska, les sentinelles du changement climatique. Sur l'île de Kodiak, située dans le golfe d’Alaska, l'âge d’or du cabillaud a succédé à celui du crabe royal après un effondrement de la population de ces derniers et la fermeture de leur pêche en 1983. La pêche au cabillaud devient alors la source principale de revenu hivernal sur l'île. À la fin du « Blob » en 2017, la quantité de cabillaud a diminué de 70 % dans le golfe. Son quota est réduit de 80 %. Depuis, la population n’a toujours pas rebondi. Avec un nombre croissant de chalutiers qui entrent en compétition, la pêche devient progressivement plus rapide et difficile pour les hommes de Kodiak. En décembre 2019, une nouvelle saison s’ouvre en mer de Béring mais la pêche au cabillaud reste fermée dans les eaux fédérales du golfe. Pour les pêcheurs dont les navires ne sont pas adaptés aux eaux agitées du Nord, il s’agit de trouver une nouvelle activité. Sans surprise, en mars 2020, la certification de durabilité de la pêche est suspendue pour la zone du golfe. L'équipage du chalutier "Afognak Strait" rentre au port après une campagne de pêche de quatre mois en mer de Béring. Ils ont pu débarquer près de 1 300 tonnes à Akuthan. Les légendes et l’article sont de la scientifique Anne-Lise Ducluzeau. Textes et photographies réalisées initialement pour une commande pour Le Figaro Magazine.
Alaska, les sentinelles du changement climatique. Sur l'île de Kodiak, située dans le golfe d’Alaska, l'âge d’or du cabillaud a succédé à celui du crabe royal après un effondrement de la population de ces derniers et la fermeture de leur pêche en 1983. La pêche au cabillaud devient alors la source principale de revenu hivernal sur l'île. À la fin du « Blob » en 2017, la quantité de cabillaud a diminué de 70 % dans le golfe. Son quota est réduit de 80 %. Depuis, la population n’a toujours pas rebondi. Avec un nombre croissant de chalutiers qui entrent en compétition, la pêche devient progressivement plus rapide et difficile pour les hommes de Kodiak. En décembre 2019, une nouvelle saison s’ouvre en mer de Béring mais la pêche au cabillaud reste fermée dans les eaux fédérales du golfe. Pour les pêcheurs dont les navires ne sont pas adaptés aux eaux agitées du Nord, il s’agit de trouver une nouvelle activité. Sans surprise, en mars 2020, la certification de durabilité de la pêche est suspendue pour la zone du golfe. L'île de Kodiak est aussi célèbre auprès des touristes pour ses paysages somptueux, une nature sauvage et une faune remarquable (lions de mer, aigles, loutres, biches, bisons,ours, saumons rouges etc...). Fossile Beach, au sud du port de Kodiak. Les légendes et l’article sont de la scientifique Anne-Lise Ducluzeau. Textes et photographies réalisées initialement pour une commande pour Le Figaro Magazine.
Alaska, les sentinelles du changement climatique. Sur l'île de Kodiak, située dans le golfe d’Alaska, l'âge d’or du cabillaud a succédé à celui du crabe royal après un effondrement de la population de ces derniers et la fermeture de leur pêche en 1983. La pêche au cabillaud devient alors la source principale de revenu hivernal sur l'île. À la fin du « Blob » en 2017, la quantité de cabillaud a diminué de 70 % dans le golfe. Son quota est réduit de 80 %. Depuis, la population n’a toujours pas rebondi. Avec un nombre croissant de chalutiers qui entrent en compétition, la pêche devient progressivement plus rapide et difficile pour les hommes de Kodiak. En décembre 2019, une nouvelle saison s’ouvre en mer de Béring mais la pêche au cabillaud reste fermée dans les eaux fédérales du golfe. Pour les pêcheurs dont les navires ne sont pas adaptés aux eaux agitées du Nord, il s’agit de trouver une nouvelle activité. Sans surprise, en mars 2020, la certification de durabilité de la pêche est suspendue pour la zone du golfe. L'île de Kodiak est aussi célèbre auprès des touristes pour ses paysages somptueux, une nature sauvage et une faune remarquable (lions de mer, aigles, loutres, biches, bisons,ours, saumons rouges etc...). Les légendes et l’article sont de la scientifique Anne-Lise Ducluzeau. Textes et photographies réalisées initialement pour une commande pour Le Figaro Magazine.
Alaska, les sentinelles du changement climatique. Sur l'île de Kodiak, située dans le golfe d’Alaska, l'âge d’or du cabillaud a succédé à celui du crabe royal après un effondrement de la population de ces derniers et la fermeture de leur pêche en 1983. La pêche au cabillaud devient alors la source principale de revenu hivernal sur l'île. À la fin du « Blob » en 2017, la quantité de cabillaud a diminué de 70 % dans le golfe. Son quota est réduit de 80 %. Depuis, la population n’a toujours pas rebondi. Avec un nombre croissant de chalutiers qui entrent en compétition, la pêche devient progressivement plus rapide et difficile pour les hommes de Kodiak. En décembre 2019, une nouvelle saison s’ouvre en mer de Béring mais la pêche au cabillaud reste fermée dans les eaux fédérales du golfe. Pour les pêcheurs dont les navires ne sont pas adaptés aux eaux agitées du Nord, il s’agit de trouver une nouvelle activité. Sans surprise, en mars 2020, la certification de durabilité de la pêche est suspendue pour la zone du golfe. L'île de Kodiak est aussi célèbre auprès des touristes pour ses paysages somptueux, une nature sauvage et une faune remarquable (lions de mer, aigles, loutres, biches, bisons,ours, saumons rouges etc...). Fossile Beach, au sud du port de Kodiak. Les légendes et l’article sont de la scientifique Anne-Lise Ducluzeau. Textes et photographies réalisées initialement pour une commande pour Le Figaro Magazine.
Alaska, les sentinelles du changement climatique. Sur l'île de Kodiak, située dans le golfe d’Alaska, l'âge d’or du cabillaud a succédé à celui du crabe royal après un effondrement de la population de ces derniers et la fermeture de leur pêche en 1983. La pêche au cabillaud devient alors la source principale de revenu hivernal sur l'île. À la fin du « Blob » en 2017, la quantité de cabillaud a diminué de 70 % dans le golfe. Son quota est réduit de 80 %. Depuis, la population n’a toujours pas rebondi. Avec un nombre croissant de chalutiers qui entrent en compétition, la pêche devient progressivement plus rapide et difficile pour les hommes de Kodiak. En décembre 2019, une nouvelle saison s’ouvre en mer de Béring mais la pêche au cabillaud reste fermée dans les eaux fédérales du golfe. Pour les pêcheurs dont les navires ne sont pas adaptés aux eaux agitées du Nord, il s’agit de trouver une nouvelle activité. Sans surprise, en mars 2020, la certification de durabilité de la pêche est suspendue pour la zone du golfe. L'île de Kodiak est aussi célèbre auprès des touristes pour ses paysages somptueux, une nature sauvage et une faune remarquable (lions de mer, aigles, loutres, biches, bisons,ours, saumons rouges etc...). Les légendes et l’article sont de la scientifique Anne-Lise Ducluzeau. Textes et photographies réalisées initialement pour une commande pour Le Figaro Magazine.
Alaska, les sentinelles du changement climatique. Sur l'île de Kodiak, située dans le golfe d’Alaska, l'âge d’or du cabillaud a succédé à celui du crabe royal après un effondrement de la population de ces derniers et la fermeture de leur pêche en 1983. La pêche au cabillaud devient alors la source principale de revenu hivernal sur l'île. À la fin du « Blob » en 2017, la quantité de cabillaud a diminué de 70 % dans le golfe. Son quota est réduit de 80 %. Depuis, la population n’a toujours pas rebondi. Avec un nombre croissant de chalutiers qui entrent en compétition, la pêche devient progressivement plus rapide et difficile pour les hommes de Kodiak. En décembre 2019, une nouvelle saison s’ouvre en mer de Béring mais la pêche au cabillaud reste fermée dans les eaux fédérales du golfe. Pour les pêcheurs dont les navires ne sont pas adaptés aux eaux agitées du Nord, il s’agit de trouver une nouvelle activité. Sans surprise, en mars 2020, la certification de durabilité de la pêche est suspendue pour la zone du golfe. L'île de Kodiak est aussi célèbre auprès des touristes pour ses paysages somptueux, une nature sauvage et une faune remarquable (lions de mer, aigles, loutres, biches, bisons,ours, saumons rouges etc...). Les légendes et l’article sont de la scientifique Anne-Lise Ducluzeau. Textes et photographies réalisées initialement pour une commande pour Le Figaro Magazine.
Alaska, les sentinelles du changement climatique. Sur l'île de Kodiak, située dans le golfe d’Alaska, l'âge d’or du cabillaud a succédé à celui du crabe royal après un effondrement de la population de ces derniers et la fermeture de leur pêche en 1983. La pêche au cabillaud devient alors la source principale de revenu hivernal sur l'île. À la fin du « Blob » en 2017, la quantité de cabillaud a diminué de 70 % dans le golfe. Son quota est réduit de 80 %. Depuis, la population n’a toujours pas rebondi. Avec un nombre croissant de chalutiers qui entrent en compétition, la pêche devient progressivement plus rapide et difficile pour les hommes de Kodiak. En décembre 2019, une nouvelle saison s’ouvre en mer de Béring mais la pêche au cabillaud reste fermée dans les eaux fédérales du golfe. Pour les pêcheurs dont les navires ne sont pas adaptés aux eaux agitées du Nord, il s’agit de trouver une nouvelle activité. Sans surprise, en mars 2020, la certification de durabilité de la pêche est suspendue pour la zone du golfe. L'île de Kodiak est aussi célèbre auprès des touristes pour ses paysages somptueux, une nature sauvage et une faune remarquable (lions de mer, aigles, loutres, biches, bisons,ours, saumons rouges etc...). Les légendes et l’article sont de la scientifique Anne-Lise Ducluzeau. Textes et photographies réalisées initialement pour une commande pour Le Figaro Magazine.
Alaska, les sentinelles du changement climatique. Départ de la course de chiens de traineaux de l'Iditarod à Anchorage, le 8 mars 2020. L'Iditarod est une course de chiens de traîneaux emblématique de l’État. Depuis 1973, le parcours relie Anchorage à Nome par 1000 kilomètres d’une piste célébrant l’Alaska, terre sauvage et brutale. Sous une neige fine, le public se tient le long des trottoirs et sur les toits des bâtiments de la quatrième rue. Les applaudissements couvrent à peine la cacophonie de plus de 600 huskies survoltés. Les légendes et l’article sont de la scientifique Anne-Lise Ducluzeau. Textes et photographies réalisées initialement pour une commande pour Le Figaro Magazine.
Alaska, les sentinelles du changement climatique. Départ de la course de chiens de traineaux de l'Iditarod à Anchorage, le 8 mars 2020. L'Iditarod est une course de chiens de traîneaux emblématique de l’État. Depuis 1973, le parcours relie Anchorage à Nome par 1000 kilomètres d’une piste célébrant l’Alaska, terre sauvage et brutale. Sous une neige fine, le public se tient le long des trottoirs et sur les toits des bâtiments de la quatrième rue. Les applaudissements couvrent à peine la cacophonie de plus de 600 huskies survoltés. Les légendes et l’article sont de la scientifique Anne-Lise Ducluzeau. Textes et photographies réalisées initialement pour une commande pour Le Figaro Magazine.
Alaska, les sentinelles du changement climatique. Départ de la course de chiens de traineaux de l'Iditarod à Anchorage, le 8 mars 2020. L'Iditarod est une course de chiens de traîneaux emblématique de l’État. Depuis 1973, le parcours relie Anchorage à Nome par 1000 kilomètres d’une piste célébrant l’Alaska, terre sauvage et brutale. Sous une neige fine, le public se tient le long des trottoirs et sur les toits des bâtiments de la quatrième rue. Les applaudissements couvrent à peine la cacophonie de plus de 600 huskies survoltés. Les légendes et l’article sont de la scientifique Anne-Lise Ducluzeau. Textes et photographies réalisées initialement pour une commande pour Le Figaro Magazine.
Alaska, les sentinelles du changement climatique. Départ de la course de chiens de traineaux de l'Iditarod à Anchorage, le 8 mars 2020. L'Iditarod est une course de chiens de traîneaux emblématique de l’État. Depuis 1973, le parcours relie Anchorage à Nome par 1000 kilomètres d’une piste célébrant l’Alaska, terre sauvage et brutale. Sous une neige fine, le public se tient le long des trottoirs et sur les toits des bâtiments de la quatrième rue. Les applaudissements couvrent à peine la cacophonie de plus de 600 huskies survoltés. Les légendes et l’article sont de la scientifique Anne-Lise Ducluzeau. Textes et photographies réalisées initialement pour une commande pour Le Figaro Magazine.
Alaska, les sentinelles du changement climatique. Départ de la course de chiens de traineaux de l'Iditarod à Anchorage, le 8 mars 2020. L'Iditarod est une course de chiens de traîneaux emblématique de l’État. Depuis 1973, le parcours relie Anchorage à Nome par 1000 kilomètres d’une piste célébrant l’Alaska, terre sauvage et brutale. Sous une neige fine, le public se tient le long des trottoirs et sur les toits des bâtiments de la quatrième rue. Les applaudissements couvrent à peine la cacophonie de plus de 600 huskies survoltés. Les légendes et l’article sont de la scientifique Anne-Lise Ducluzeau. Textes et photographies réalisées initialement pour une commande pour Le Figaro Magazine.
Alaska, les sentinelles du changement climatique. Départ de la course de chiens de traineaux de l'Iditarod à Anchorage, le 8 mars 2020. L'Iditarod est une course de chiens de traîneaux emblématique de l’État. Depuis 1973, le parcours relie Anchorage à Nome par 1000 kilomètres d’une piste célébrant l’Alaska, terre sauvage et brutale. Sous une neige fine, le public se tient le long des trottoirs et sur les toits des bâtiments de la quatrième rue. Les applaudissements couvrent à peine la cacophonie de plus de 600 huskies survoltés. Les légendes et l’article sont de la scientifique Anne-Lise Ducluzeau. Textes et photographies réalisées initialement pour une commande pour Le Figaro Magazine.
Alaska, les sentinelles du changement climatique. Départ de la course de chiens de traineaux de l'Iditarod à Anchorage, le 8 mars 2020. L'Iditarod est une course de chiens de traîneaux emblématique de l’État. Depuis 1973, le parcours relie Anchorage à Nome par 1000 kilomètres d’une piste célébrant l’Alaska, terre sauvage et brutale. Sous une neige fine, le public se tient le long des trottoirs et sur les toits des bâtiments de la quatrième rue. Les applaudissements couvrent à peine la cacophonie de plus de 600 huskies survoltés. Les légendes et l’article sont de la scientifique Anne-Lise Ducluzeau. Textes et photographies réalisées initialement pour une commande pour Le Figaro Magazine.
Alaska, les sentinelles du changement climatique. Départ de la course de chiens de traineaux de l'Iditarod à Anchorage, le 8 mars 2020. L'Iditarod est une course de chiens de traîneaux emblématique de l’État. Depuis 1973, le parcours relie Anchorage à Nome par 1000 kilomètres d’une piste célébrant l’Alaska, terre sauvage et brutale. Sous une neige fine, le public se tient le long des trottoirs et sur les toits des bâtiments de la quatrième rue. Les applaudissements couvrent à peine la cacophonie de plus de 600 huskies survoltés. Janet Grelson, bénévole de la course, intervient à un des passage du public sur le départ, repoussant inlassablement la neige après chaque ouverture et fermetures aux piétons. Les légendes et l’article sont de la scientifique Anne-Lise Ducluzeau. Textes et photographies réalisées initialement pour une commande pour Le Figaro Magazine.
Alaska, les sentinelles du changement climatique. Départ de la course de chiens de traineaux de l'Iditarod à Anchorage, le 8 mars 2020. L'Iditarod est une course de chiens de traîneaux emblématique de l’État. Depuis 1973, le parcours relie Anchorage à Nome par 1000 kilomètres d’une piste célébrant l’Alaska, terre sauvage et brutale. Sous une neige fine, le public se tient le long des trottoirs et sur les toits des bâtiments de la quatrième rue. Les applaudissements couvrent à peine la cacophonie de plus de 600 huskies survoltés. Les légendes et l’article sont de la scientifique Anne-Lise Ducluzeau. Textes et photographies réalisées initialement pour une commande pour Le Figaro Magazine.
Alaska, les sentinelles du changement climatique. Le laboratoire de virologie d'Eric Bortz, UAA, Anchorage, Alaska travaille sur la répartition des souches virales parmi les espèces marines et terrestres d'Alaska. Celle-ci est fortement impactée par le changement climatique et les conséquences de ces évolutions impactent toute la chaine alimentaire, allant jusqu'aux chasses de mammifères de communautés natives Inupiaq d'Alaska, qui dépendent de ces chasses et pêches très réglementées pour leur survie alimentaires. Eric travaille aussi sur des souches Covid des chauves-souris d'Alaska depuis plusieurs années. Son équipe se compose de Ralph Dagdog, Matthew Redlinger et Amy Klink, master virologie, qui présente sur certaines images un échantillon de tête de phoque congelée (permis de reproduction de l'image de l'agence NOAA: MMPA #15510). Les légendes et l’article sont de la scientifique Anne-Lise Ducluzeau. Textes et photographies réalisées initialement pour une commande pour Le Figaro Magazine.
Alaska, les sentinelles du changement climatique. Le laboratoire de virologie d'Eric Bortz, UAA, Anchorage, Alaska travaille sur la répartition des souches virales parmi les espèces marines et terrestres d'Alaska. Celle-ci est fortement impactée par le changement climatique et les conséquences de ces évolutions impactent toute la chaine alimentaire, allant jusqu'aux chasses de mammifères de communautés natives Inupiaq d'Alaska, qui dépendent de ces chasses et pêches très réglementées pour leur survie alimentaires. Eric travaille aussi sur des souches Covid des chauves-souris d'Alaska depuis plusieurs années. Son équipe se compose de Ralph Dagdog, Matthew Redlinger et Amy Klink, master virologie, qui présente sur certaines images un échantillon de tête de phoque congelée (permis de reproduction de l'image de l'agence NOAA: MMPA #15510). Les légendes et l’article sont de la scientifique Anne-Lise Ducluzeau. Textes et photographies réalisées initialement pour une commande pour Le Figaro Magazine.
Alaska, les sentinelles du changement climatique. Le laboratoire de virologie d'Eric Bortz, UAA, Anchorage, Alaska travaille sur la répartition des souches virales parmi les espèces marines et terrestres d'Alaska. Celle-ci est fortement impactée par le changement climatique et les conséquences de ces évolutions impactent toute la chaine alimentaire, allant jusqu'aux chasses de mammifères de communautés natives Inupiaq d'Alaska, qui dépendent de ces chasses et pêches très réglementées pour leur survie alimentaires. Eric travaille aussi sur des souches Covid des chauves-souris d'Alaska depuis plusieurs années. Son équipe se compose de Ralph Dagdog, Matthew Redlinger et Amy Klink, master virologie, qui présente sur certaines images un échantillon de tête de phoque congelée (permis de reproduction de l'image de l'agence NOAA: MMPA #15510). Les légendes et l’article sont de la scientifique Anne-Lise Ducluzeau. Textes et photographies réalisées initialement pour une commande pour Le Figaro Magazine.
Alaska, les sentinelles du changement climatique. Pose du tripode sur la rivière Tanana gelée pour le concours "Nenana Ice Classic". Le concours Nenana Ice Classic est un autre évènement emblématique de l’État pour lequel les gens doivent deviner le jour, l’heure et la minute où un trépied installé sur la rivière Tanana, gelée, passera à travers la glace. Ce concours, très populaire en Alaska, a permit aussi de recueillir des données climatiques depuis 1917. Les légendes et l’article sont de la scientifique Anne-Lise Ducluzeau. Textes et photographies réalisées initialement pour une commande pour Le Figaro Magazine.
Alaska, les sentinelles du changement climatique. Pose du tripode sur la rivière Tanana gelée pour le concours "Nenana Ice Classic". Le concours Nenana Ice Classic est un autre évènement emblématique de l’État pour lequel les gens doivent deviner le jour, l’heure et la minute où un trépied installé sur la rivière Tanana, gelée, passera à travers la glace. Ce concours, très populaire en Alaska, a permit aussi de recueillir des données climatiques depuis 1917. Les légendes et l’article sont de la scientifique Anne-Lise Ducluzeau. Textes et photographies réalisées initialement pour une commande pour Le Figaro Magazine.
Alaska, les sentinelles du changement climatique. Pose du tripode sur la rivière Tanana gelée pour le concours "Nenana Ice Classic". Le concours Nenana Ice Classic est un autre évènement emblématique de l’État pour lequel les gens doivent deviner le jour, l’heure et la minute où un trépied installé sur la rivière Tanana, gelée, passera à travers la glace. Ce concours, très populaire en Alaska, a permit aussi de recueillir des données climatiques depuis 1917. Les légendes et l’article sont de la scientifique Anne-Lise Ducluzeau. Textes et photographies réalisées initialement pour une commande pour Le Figaro Magazine.
Alaska, les sentinelles du changement climatique. Pose du tripode sur la rivière Tanana gelée pour le concours "Nenana Ice Classic". Le concours Nenana Ice Classic est un autre évènement emblématique de l’État pour lequel les gens doivent deviner le jour, l’heure et la minute où un trépied installé sur la rivière Tanana, gelée, passera à travers la glace. Ce concours, très populaire en Alaska, a permit aussi de recueillir des données climatiques depuis 1917. Les légendes et l’article sont de la scientifique Anne-Lise Ducluzeau. Textes et photographies réalisées initialement pour une commande pour Le Figaro Magazine.
Alaska, les sentinelles du changement climatique. Andy Seitz, professeur en écologie et conservation des poissons a UAF étudie l’omble Dolly Varden, un poisson prisé par communautés locales. Les légendes et l’article sont de la scientifique Anne-Lise Ducluzeau. Textes et photographies réalisées initialement pour une commande pour Le Figaro Magazine.
Alaska, les sentinelles du changement climatique. Rick Thoman, spécialiste du Climat à l'université d’Alaska Fairbanks (UAF). Les légendes et l’article sont de la scientifique Anne-Lise Ducluzeau. Textes et photographies réalisées initialement pour une commande pour Le Figaro Magazine.
Alaska, les sentinelles du changement climatique. La "Drunken Forest" aux alentours de Fairbanks, est un des symptômes récurent de la fonte du permafrost : les arbres se couchent massivement formant un mikado géant à côté de zones stables. Les légendes et l’article sont de la scientifique Anne-Lise Ducluzeau. Textes et photographies réalisées initialement pour une commande pour Le Figaro Magazine.
Alaska, les sentinelles du changement climatique. Chris Zwolinski, guide de chasse à l'élan. Il se rend chaque année au même endroit du Brooks Range depuis 1989. La saison s’ouvre invariablement le 1er septembre pour les résidents d’Alaska et le 5 pour les autres. Depuis quelques années, Chris a changé son carnet de réservation, car l'élan n’est plus au rendez-vous en début de saison : « Je ne veux plus chasser à partir du 5 et faire perdre leur temps à mes clients. Ce ne serait pas juste pour eux. » Corollairement, pour les communautés natives, la chasse a été prolongée de dix jours à de multiples reprises afin de leur permettre d’assurer au moins une prise. Chris se souvient qu’au début de son activité, la température ne posait pas de problème : le gibier pouvait être remisé dans des abris extérieurs pour être équarri pendant les semaines suivantes. Maintenant, lorsqu’un animal est abattu, il décrit une course contre la montre pour éviter que les quatre cents kilos de viande ne se perdent. Il ne fait plus assez froid. Conséquence du changement climatique : la propriété où Chris opère a dû s'équiper d’un congélateur. Il s’agit d’un de ces petits détails pratiques qui passent presque inaperçus. Les légendes et l’article sont de la scientifique Anne-Lise Ducluzeau. Textes et photographies réalisées initialement pour une commande pour Le Figaro Magazine.
Alaska, les sentinelles du changement climatique. Vues ariennes de la baie d'Anchorage où l'ont distingue clairement les "galettes" de glaces , témoin de la fin de l'hiver et du début de la fonte des glaces hivernales sur la côte d'Anchorage. Les légendes et l’article sont de la scientifique Anne-Lise Ducluzeau. Textes et photographies réalisées initialement pour une commande pour Le Figaro Magazine.
Alaska, les sentinelles du changement climatique. Prudhoe Bay est la ville principale de la station de forage pétrolier de la North Slope. Les employés du pétrole y logent dans les baraquements du type de l’hôtel Prudhoe Bay Hotel. C’est ici que commence un pipeline de 1 288 km traversant l’État jusqu'au port de Valdez. au sud de l'Alaska. Les légendes et l’article sont de la scientifique Anne-Lise Ducluzeau. Textes et photographies réalisées initialement pour une commande pour Le Figaro Magazine.
Alaska, les sentinelles du changement climatique. Prudhoe Bay est la ville principale de la station de forage pétrolier de la North Slope. Les employés du pétrole y logent dans les baraquements du type de l’hôtel Prudhoe Bay Hotel. C’est ici que commence un pipeline de 1 288 km traversant l’État jusqu'au port de Valdez. au sud de l'Alaska. La plateforme 26 dite « La Bête ». Nouvellement assemblée par Doyon, cette plateforme mobile a été conçue dans l’esprit de réduire l'empreinte carbone des opérations de forage. La Bête est le fleuron du drillage multidirectionnel. Elle pèse 4 300 tonnes et pourra explorer 40 000 hectares du sol arctique depuis chacune de ses positions. Les légendes et l’article sont de la scientifique Anne-Lise Ducluzeau. Textes et photographies réalisées initialement pour une commande pour Le Figaro Magazine.
Alaska, les sentinelles du changement climatique. Prudhoe Bay est la ville principale de la station de forage pétrolier de la North Slope. Les employés du pétrole y logent dans les baraquements du type de l’hôtel Prudhoe Bay Hotel. C’est ici que commence un pipeline de 1 288 km traversant l’État jusqu'au port de Valdez. au sud de l'Alaska. Austin Hobbs, travaille pour une entreprise de système de mesures. Les légendes et l’article sont de la scientifique Anne-Lise Ducluzeau. Textes et photographies réalisées initialement pour une commande pour Le Figaro Magazine.
Alaska, les sentinelles du changement climatique. Prudhoe Bay est la ville principale de la station de forage pétrolier de la North Slope. Les employés du pétrole y logent dans les baraquements du type de l’hôtel Prudhoe Bay Hotel. C’est ici que commence un pipeline de 1 288 km traversant l’État jusqu'au port de Valdez. au sud de l'Alaska. Les Dunbar, postière de Prudhoe Bay. Le bureau des postes est situé dans l'unique magasin de fournitures en tout genre de la ville. Les légendes et l’article sont de la scientifique Anne-Lise Ducluzeau. Textes et photographies réalisées initialement pour une commande pour Le Figaro Magazine.
Alaska, les sentinelles du changement climatique. Prudhoe Bay est la ville principale de la station de forage pétrolier de la North Slope. Les employés du pétrole y logent dans les baraquements du type de l’hôtel Prudhoe Bay Hotel. C’est ici que commence un pipeline de 1 288 km traversant l’État jusqu'au port de Valdez. au sud de l'Alaska. Les légendes et l’article sont de la scientifique Anne-Lise Ducluzeau. Textes et photographies réalisées initialement pour une commande pour Le Figaro Magazine.
Le CDT (Conductivity Temperature Depth) est déployé par un bras télescopique extérieur par une porte latérale directement ouverte sur la mer. La précision du prélèvement est assurée par le fait que le bateau "fixe" sa position GPS au niveau d'une station de prélèvement préalablement déterminée. Les données sont ensuite recueillies en salle de contrôle et mise à disposition des scientifiques. Le CTD prélève des échantillons d’eau à différentes profondeurs et enregistre la conductivité, la température et la profondeur, ce qui permet de calculer d’autres paramètres fondamentaux en océanographie tels que la salinité ou la vitesse du son dans l’eau.
Sur le pont supérieur du RV Sikuliaq se trouve la passerelle, ou salle de commandement. Sa structure permet de voir la mer à 360°, soit en restant abrité des intempéries dans la salle, soit en sortant sur la plateforme située juste derrière la salle de commandement, et qui donne accès soit aux instruments radar situés encore au dessus, soit de rejoindre par l’extérieur les ponts inférieurs. L’enchevêtrement de ponts, passages et escaliers fait du Sikuliaq un dédale à apprivoiser.
Au petit matin, Christoph Gabaldo, le second du navire, finit son quart sur le pont de contrôle du navire. La nuit, la passerelle est plongée dans l’obscurité afin de mieux surveiller la mer alentour de nuit et les éventuelles lumières extérieures. L'équipe de jour va bientôt venir relayer Christophe et le capitaine Eric Piper qui ont partagé ce quart.
Dans la salle baltique, premier sas entre le pont arrière et la salle de recherche, le marin Ethan Roth, responsable scientifique à bord, coordonne le premier prélèvement scientifique auprès des étudiants : le déploiement du CDT (Conductivity Temperature Depth). Le CTD prélève des échantillons d’eau à différentes profondeurs et enregistre la conductivité, la température et la profondeur, ce qui permet de calculer d’autres paramètres fondamentaux en océanographie tels que la salinité ou la vitesse du son dans l’eau. Le CDT est déployé par un bras télescopique extérieur par une porte latérale directement ouverte sur la mer. La précision du prélèvement est assurée par le fait que le bateau "fixe" sa position GPS au niveau d'une station de prélèvement préalablement déterminée. Les données sont recueillies en salle de contrôle et mise à disposition des scientifiques.
La dégradation des routes et de certains bâtiments autour de Fairbanks est l'indicateur les plus visible de la détérioration des infrastructures causées par la fonte du permafrost, ou pergélisol. Le pergélisol est un sol gelé toute l'année pendant au moins deux ans. Quand il dégèle, il peut passer de la terre ferme à la boue. Dans de nombreux cas, le sol s’effondrera, ce qui entraînera une défaillance destructive de toutes les structures qui y sont construites. d'ici 2050, environ les trois quarts de la population vivant sur le pergélisol, soit environ 3,6 millions de personnes, seront touchés par les dommages causés aux infrastructures par le dégel du pergélisol. En Alaska, l'oléoduc trans-Alaska traverse environ 340 km de terres où le pergélisol proche de la surface pourrait dégeler d'ici 2050. "Ces observations m'ont amené à penser que le réchauffement climatique n'est pas un faux mais la réalité, a déclaré Vladimir Romanovsky, scientifique à l'Institut de géophysique de l'Université d'Alaska Fairbanks, qui surveille le pergélisol en Alaska depuis 25 ans.. "Et ici, en Alaska, nous avons déjà affaire à une réalité et nous en traiterons encore plus dans un proche avenir." Romanovsky est l'un des auteurs de l'étude, aux côtés de chercheurs de Finlande, de Norvège, de Russie et du Michigan. Cette recherche est la première à montrer explicitement l’importance des infrastructures fondamentales dans l’hémisphère Nord qui risquent de subir une défaillance structurelle du fait du dégel du pergélisol causé par le changement climatique. Source : "Degrading permafrost puts Arctic infrastructure at risk by mid-century", December 11, 2018, University of Alaska Fairbanks
Tout près de Fairbanks passe l'oléoduc trans-Alaska (en anglais Trans-Alaska Pipeline System, abrégé en TAPS), qui traverse tout l’État, du Nord (Prudhoe Bay, où se trouve le troisième gisement de pétrole d’Amérique du Nord, après Cantarell et Alberta) au Sud (port pétrolier en mer libre de glace de Valdez). L'activité pétrolière est un secteur économique important pour l'Alaska.
Alaska, les sentinelles du changement climatique. Survol des glaciers à l'ouest d'Anchorage. Les légendes et l’article sont de la scientifique Anne-Lise Ducluzeau. Textes et photographies réalisées initialement pour une commande pour Le Figaro Magazine.
Alaska, les sentinelles du changement climatique. Survol des glaciers à l'ouest d'Anchorage. Les légendes et l’article sont de la scientifique Anne-Lise Ducluzeau. Textes et photographies réalisées initialement pour une commande pour Le Figaro Magazine.