France - Paris : DCSSI (direction centrale de surveillance et de securite informatique), qui releve du Secretariat general de la Defense nationale, installe aux Invalides. Le directeur, PATRICK PAILLOUX, ouvre la porte de la salle protegee par une cage de Faraday (salle entierement enfermee dans une coque de metal, de cuivre, qui la protege des interferences et intrusions electriques et electro-magnetiques), ou sont creees par informatiques les cles utilisees dans les systemes de cryptages et de protection des systemes transmissions et des reseaux informatiques de l Armee francaise des ministeres et des organismes de l Etat. France - Paris : DCSSI (central direction of monitoring and security). The director, PATRICK PAILLOUX, opens the door of the room protected by a cage, where are created the keys used in the systems of encoding and protection of transmission systems and computer networks of french armed forces.
France - Orsay - Laboratoire de l'Université de Paris-Sud XI - Institut d'Astrophysique Spatiale (IAS) : portrait d'un jésuite le père PAVEL GABOR, tchéque et doctorant en astrophysique. Il prépare avec le docteur BRUNO CHAZELAS (avec une barbe) le banc optique pour tester le prototype optique d'un capteur capable de percevoir la trace d'une exoplanète passant devant une étoile. Ce futur capteur sera installé dans le radiotelescope spatiale, transporté par les satellites du programme Darwin. La mission DARWIN, si elle est finalement retenue par l'Agence Spatiale Européenne (ESA) devrait permettre, vers 2025, d'étudier les nouvelles planètes extra-solaires et d'y découvrir d'éventuelles traces de vie primitive. C'est l'un des seuls instruments envisageables dans les prochaines années, qui soit capable de détecter la présence, dans les atmosphères planétaires, de dioxyde de carbone (CO2), caractéristique des planètes telluriques (petites planètes rocheuses du Système Solaire, telles Mercure, Venus, la Terre, Mars, la Lune...), d'eau (H2O), d'ozone (O3) et donc d'oxygène (O2).
France - Orsay - Laboratoire de l'Université de Paris-Sud XI - Institut d'Astrophysique Spatiale (IAS) : portrait d'un jésuite le père PAVEL GABOR, tchéque et doctorant en astrophysique. Il prépare avec le docteur BRUNO CHAZELAS (avec une barbe) le banc optique pour tester le prototype optique d'un capteur capable de percevoir la trace d'une exoplanète passant devant une étoile. Ce futur capteur sera installé dans le radiotelescope spatiale, transporté par les satellites du programme Darwin. La mission DARWIN, si elle est finalement retenue par l'Agence Spatiale Européenne (ESA) devrait permettre, vers 2025, d'étudier les nouvelles planètes extra-solaires et d'y découvrir d'éventuelles traces de vie primitive. C'est l'un des seuls instruments envisageables dans les prochaines années, qui soit capable de détecter la présence, dans les atmosphères planétaires, de dioxyde de carbone (CO2), caractéristique des planètes telluriques (petites planètes rocheuses du Système Solaire, telles Mercure, Venus, la Terre, Mars, la Lune...), d'eau (H2O), d'ozone (O3) et donc d'oxygène (O2).
France - Trappes : station de meteo France a Trappes sur le site historique ou Leon Teisserenc De Bort fonda l une des premieres stations de meteorologie au monde. Chaque jour, les previsionnistes realisent des lachers de ballons sonde a midi et a minuit pour realiser des releves en altitude. Depuis ce site a ete etabli le plus ancien historique au monde de releves en altitude a partir des annees 1900, d'abord avec des cerf-volants puis a partir de 1929, par radiosondage. Sur l image JEAN-PIERRE LOISELEUR tient et verifie la sonde qui est accrochee au ballon d helium, et qui emporte un emetteur gps, un capteur de temperature et un hygrometre. Et FREDERIC JOURDAIN tient le ballon gonfle a l helium et son parachute rouge sous l abri a ballons construit en 1924.
Paris : Musée de l'Homme : MICH LE BRACONNIER-LECLERC, restaurateur du patrimoine, département du Musée de l'Homme (MNHN), restauration des objets-restauration en cours de bustes ethnographiques (Collection de 614 bustes ethnographiques en plâtre du 19e siècle).
France - Draguignan - laboratoire d'anthropologie du Dr GILLES GREVIN : PAUL BAILET, anthropologue, travaillant sur écran sur le rapport des fouilles romaines en Tunisie - France - Draguignan : laboratory of anthropology, the anthropologist Paul Bailet working on screen on the report of the Roman searches in Tunisia
France - Cachan : Ecole normale superieure de Cachan - institut d optique. Dans l obscurite d un tunnel de 60 metres, VINCENT JACQUES, thesard, experimente un laser a photons pulses pour de nouvelles applications. C est cette meme installation qui, voila quatre ans, a permis pour la premiere fois, d envoyer et recevoir un message crypte grace au laser. Cette cryptologie quantique permet de coder sous quatre phases chaque electron et de deceler immediatement toute interception, meme partielle, du message, par un intrus. En 2001, les chercheurs de l Institut d Optique ont realise le premier chiffrement de message a l aide de photons uniques codes en polarisation. La mecanique quantique assure alors l inviolabilite du message transmis. Ces travaux se poursuivent en collaboration avec le Laboratoire de Photonique Quantique et Moleculaire ou Vincent Jacques est actuellement doctorant France - Cachan : Ecole normale superieure de Cachan, institute of optics. In the darkness of a tunnel of a 60 meters, VINCENT JACQUES, experimente a laser with photons pulsed for new applications COLLABORATION DE L INSTITUT D OPTIQUE & ENS DE CACHAN (LPQM)
Italie - Venise et sa lagune : sauvegarde de la lagune de Venise.CNR-ISDGM, programme COLORS : mesures optiques et qualitatives de l'eau en relation aux observations satellite. Sur le cable descendu par le chercheur sont installes differents appareillages et capteurs permettant la mesure de la qualite de l'eau a differentes profondeurs : pH, lsalinite, turbidite, prelevement de plancton et mesures optiques de transparence de l eau. Ces mesures sont mises en correlation avec les observations du satellite a la verticale du site.
France : Paris : Musée de l'Homme : PAUL VERDU, doctorant en anthropologie génétique (these migration des pygmée -Labo CNRS) & LAURE SEGUREL doctorante anthropologie génétique (assistante de Evelyne Heyer-Labo CNRS, étude des populations d'Asie Centrale). Visualisation sous lampes ultra-violette de l'ADN humain [extrait d'un échantillon et que l'on a amplifier sur le gel, par la méthode PCR. La PCR est une méthode qui permet d'obtenir rapidement une quantité importante et exploitable d'un segment précis d'ADN, à partir d'un échantillon.]
Italie - Venise et sa lagune : sauvegarde de la lagune de Venise. Programme WATERS : image numerique des zones de concentration de la pollution dans les canaux grace aux mesures des bateaux poubelles.
France : Paris : Institut de Paleontologie Humaine IPH-MNHN-Fondation Albert 1er de Monaco- salle des collections de cranes des hominides, neandertaliens, homo-sapiens, australopithecus et primates - MARYLENE PATOU-MATHIS, prehistorienne specialiste de l'homme de Neandertal, directeur de recherche au CNRS, avec un buste de femme de Neandertal (sculptee par Elisabeth Daynes) et des reproduction de cranes de neandertaliens. Elle est conseillere scientifique sur le film "AO, le dernier Neandertal"
Paris : Musée de l'Homme : ODILE ROMAIN, Préhistorienne, chargée des collections de Préhistoire au Musée de l'Homme - dans les réserves.
France : les Observatoires des Alpes de Hautes Provence : l'Observatoire de Haute Provence. Dans le bâtiment du réseau NDSC : l'appareillage du faisceau laser LIDAR, devant un technicien Gilles Kaczmarek responsable de son réglage. Le LIDAR fait partie du Réseau NSDC (Network of Detection of Stratosferic Changes mis en oeuvre en 1991) d'observation et d'études des couches de la Stratosphère et de la couche d'Ozone. Ce "radar optique" utilise la diffusion par les molécules et/ou les particules atmosphèriques d'un faisceau laser à impulsion (laser vert), dirigé à la verticale et permettant de déterminer par ciel clair les profils verticaux (concentrations et répartitions) d'ozone, de températures, et des aérosols constituants l'atmosphère et la stratosphère.
France - Paris : A Paris, ALEXANDRE STERN commercial et son frere JULIEN STERN cryptographe (au clavier), dans leur societe de cryptographie : Cryptolog qu ils ont fondes ensemble. Sur l ecran: un extrait de l algorithme public de cryptage: AES. France - Paris : ALEXANDRE STERN and his brother JULIEN STERN, cryptograph in their society of cryptography called Cryptolog. On the screen an extract of public algorithm : AES [Ils creent des programmes de chiffrage pour des societes francaises et etrangeres, à installer sur des ordinateurs ou des telephones portables. Afin de crypter et proteger les communications. Les solutions logiciels qu ils vendent sont au prealable controles par les services du ministere de la Defense de surveillance des systemes avant d etre livrees.]
Pays-Bas - Assen : Musée de la ville (Drents Museum) exposant les "BOG BODIES" ou corps des TOURBIERES découverts dans les marais de l'Europe du Nord. Le Docteur Vijanan VAN DER SANDEN, paléoanthropologue du Drents Museum d'Assen et LA FILLE D'YDE (entre 170 av. J.-C. et 230, ap. J.-C) et sa reconstitution faite par l'Université de Manchester. Âgée de moins de 16 ans au moment de sa mort, découverte en 1897. Une tourbière est un écosystème très original, fragile, une zone humide caractérisée par l'accumulation progressive de la tourbe, un sol caractérisé par sa très forte teneur en matière organique majoritairement végétale, peu ou pas décomposée. Cette caractéristique fait des tourbières des puits de carbone.
France - Ecully - Institut Textile de France : le chercheur JACQUES MAGUIN effectue un traitement au plasma afin d'effectuer une modification moléculaire du textile. En novembre 2000, l'ITF fusionne avec le Centre technique des industries de l'habillement pour devenir l'Institut français Textile-habillement (IFTH).
France : les Observatoires des Alpes de Hautes Provence et des Hautes Alpes, à Saint Véran, la commune la plus haute d'Europe, à près de 2 000 mètres, dans le Parc du Queyras, se trouve la station de l'observatoire du Pic de Château-Renard ( 2 990 mètres d'alt.) appartenant au CNRS. Mais laissé en gestion à l'association d'astronome amateur Astro-Queyras, pour cause d'accés trop difficile pour les scientifiques. Cette association s'est retrouvée autours de son président : Jean-Christophe Le Floch (astro amateur lunette devant cafetière ), le 8 juin 2004, pour l'observation du passage de Vénus, devant le Soleil : phénomène attendu depuis 1882. Les membres de l'asso : Sophie Barras (astro amateur, la seule femme), Jean-François Touillard (astro amateur), Olivier Joseph (photographe sous la coupole & astro amateur), Jacques Adda (astro amateur), Sébastien Brouillard (astro amateur), et un ami Claude Pambrun (ingènieur CNRS/station GPS du Pic de Chateau-Renard) responsable de certains instruments de la station. Autour les paysages du Parc Régional du Queyras. Vue depuis l'observatoire : Crête de Caramagne (nord est), Crête de la Taillante (est), Crête du Mourre-Froid (nord), Tête de Longet 3151m (sud), Tête des Toillies 3176m (sud), Col Agnei 3 028m (est), Pic Caramatran 3 026m (sud est), le Gd Queyras 3 114m (nord est), le Viso 2 425m (est), Le Pain de Sucre 3 211m (est)...
France : les Observatoires des Alpes de Hautes Provence et des Hautes Alpes, à Saint Véran, la commune la plus haute d'Europe, à près de 2 000 mètres, dans le Parc du Queyras, se trouve la station de l'observatoire du Pic de Château-Renard ( 2 990 mètres d'alt.) appartenant au CNRS. Mais laissé en gestion à l'association d'astronome amateur Astro-Queyras, pour cause d'accés trop difficile pour les scientifiques. Cette association s'est retrouvée autours de son président : Jean-Christophe Le Floch (astro amateur lunette devant cafetière ), le 8 juin 2004, pour l'observation du passage de Vénus, devant le Soleil : phénomène attendu depuis 1882. Les membres de l'asso : Sophie Barras (astro amateur, la seule femme), Jean-François Touillard (astro amateur), Olivier Joseph (photographe sous la coupole & astro amateur), Jacques Adda (astro amateur), Sébastien Brouillard (astro amateur), et un ami Claude Pambrun (ingènieur CNRS/station GPS du Pic de Chateau-Renard) responsable de certains instruments de la station. Autour les paysages du Parc Régional du Queyras. Vue depuis l'observatoire : Crête de Caramagne (nord est), Crête de la Taillante (est), Crête du Mourre-Froid (nord), Tête de Longet 3151m (sud), Tête des Toillies 3176m (sud), Col Agnei 3 028m (est), Pic Caramatran 3 026m (sud est), le Gd Queyras 3 114m (nord est), le Viso 2 425m (est), Le Pain de Sucre 3 211m (est)...
France - Valbonne : la palinologue BUI THI MAI, Laboratoire de Palynologie CEPAM-CNRS Sofia Antipolis, regardant un écran ou est agrandi un pollen trouvé dans les sépultures découvertes à Naintré fin 1997, ces deux corps, datent du IVe siècle après JC. Le principal corps était celui d'une jeune fille de 12 ans peut etre d'origine orientale ensevelie avec un très beau tissu brodé d'or (peut etre proche de l'Empereur Constantin). Le second corps est d'une femme de près de 60 ans.
France : les Observatoires des Alpes de Hautes Provence /l'Observatoire de Haute Provence -OHP/CNRS: le téléscope de 120cm, il fut le premier téléscope à être installé à l'OHP en 1943, il ne possède qu'un foyer "Newton" (distance focale = 7,20 m./ rapport d'ouverture F/6). Aujourd'hui il est équipé d'une caméra CCD. Il est utilisé pour des applications d'astrophysiques et astrométriques et pour la formation des étudiants. Alain Klotz, astronome de l'OHP et son assistant Yacine. Cette nuit là, ils ont du réparer la platine filtres de la caméra CCD.
France - Naintré : l'archéologue BERNARD FARAGO, qui a dirigé la fouille des sépultures retrouvées à Naintré à la fin de l'année 1997, examine les restes du squelette d'un des deux corps, datant du IVe siècle après JC. Différents spécialistes et archéologues ont mené cette fouille : un entomologue pour les insectes, un spécialiste des tissus, deux spécialistes des pollens et des plantes (palinologues), un spécialiste des datations au carbone 14 et un spécialiste en médecine légale pour comprendre l'origine du décès. Il semblerait que le principal corps soit celui d'une jeune fille de 12 ans peut etre d'origine orientale inhumée avec de très riches tissus brodés d'or (peut etre proche de l'Empereur Constantin). Le second corps est d'une femme de près de 60 ans.
France - Naintré : l'archéologue BERNARD FARAGO, qui a dirigé la fouille des sépultures retrouvées à Naintré à la fin de l'année 1997, examine les restes d'un des squelettes devant ces deux sépultures datant du IVe siècle après JC. Différents spécialistes et archéologues ont mené cette fouille : un entomologue pour les insectes, un spécialiste des tissus, deux spécialistes des pollens et des plantes (palinologues), un spécialiste des datations au carbone 14 et un spécialiste en médecine légale pour comprendre l'origine du décès. Il semblerait que le principal corps soit celui d'une jeune fille de 12 ans peut etre d'origine orientale inhumée avec de très riches tissus brodés d'or (peut etre proche de l'Empereur Constantin). Le second corps est d'une femme de près de 60 ans.
France - Naintré : l'archéologue BERNARD FARAGO entourés des autres scientifiques et archéologues, dont HENRI DUDAY, pendant les fouilles des sépultures de Naintré découvertes fin 1997, il examine assis les restes du squelette d'un des deux corps, datant du IVe siècle après JC. Pendant la séance de prises de vues radiographiques des restes des corps. Différents spécialistes et archéologues ont mené cette fouille : un entomologue pour les insectes, un spécialiste des tissus, deux spécialistes des pollens et des plantes (palinologues), un spécialiste des datations au carbone 14 et un spécialiste en médecine légale pour comprendre l'origine du décès. Il semblerait que le principal corps soit celui d'une jeune fille de 12 ans peut etre d'origine orientale inhumée avec de très riches tissus brodés d'or (peut etre proche de l'Empereur Constantin). Le second corps est d'une femme de près de 60 ans.
France : les Observatoires des Alpes de Hautes Provence / OHP-CNRS. Dans les bâtiments de l'OHP est hébergé le LISE = Laboratoire d'Interférométrie Stellaire et Exoplanétaire (planéte à l'extèrieur du système solaire), où HERVÉ LE COROLLER (ATER à gauche, post-doctorant d'Astrophysique" du Collège de France" et chercheur sur les étoiles pulsantes et JULIEN DEJONGHE à droite, Ingénieur optomécanique "du Collège de France", dévellopent ensemble le projet CARLINA (Hervé Le Coroller : thèse sur les étoiles Pulsantes avec Denis Gillet à l'OHP) --PREMIERS MIROIRS "CARLINA" AU SOL---Le projet CARLINA, concerne la préparation des futurs hypertélescopes au sol et dans l'espace. Ces instruments seront capables de former des images résolues d'étoiles ou d'exoplanètes. Ces observations ne sont pratiquement pas envisageables avec des télescopes classiques. En effet, les techniques actuelles rendent difficile la construction de télescopes monolithiques de plus d'une dizaine de mètres de diamètre. Or la taille du miroir donne la limite de résolution, c'est à dire la capacité du télescope à voir des détails. Ce projet utilise le principe de l'interférométrie : le projet CARLINA est un système de petit miroirs, fixés au sol dans une cuvette naturelle, fortement espacés entre-eux, et qui permettent de reconstituer l'image d'une étoile très éloignée. On fait interférer la lumière des étoiles qui s'est réfléchie sur ces miroirs au sol pour obtenir une image à haute résolution angulaire. Image qui vient se former au plan focal, dans une sphère d'images virtuelles, au dessus, là où le dirigeable soutient une nacelle avec le bloc optique secondaire, formé en
Irlande - Shannon - meteorologie et prevision des tempetes atlantiques : Les scientifiques effectuent des relevés à bord d'un avion dans le cadre du programme international FASTEX (Fronts and Atlantic Storm-Track EXperiment) sur la météo et plus precisement sur les cyclones et les dépressions. La campagne de mesure Fastex : La prévision de la formation et de l'evolution des depressions au-dessus de l'ocean Atlantique reste une question difficile en depit des progrès de la prevision numerique. L'experience Fastex est un projet tres ambitieux centre sur ce sujet realise en collaboration avec de nombreux partenaires, dont le CNRS en France et la plupart des services meteorologiques de la façade atlantique. Pour ce faire, une importante campagne de mesures s'est déroulée en janvier et février 1997. Elle impliquait près de 30 stations de radiosondages autour de l'Atlantique nord, ....2 avions à long rayon d'action, dont l'un traversait régulièrement l'océan, 3 avions équipés pour l'étude détaillée des systèmes nuageux, ainsi que la participation temporaire de 2 autres avions de ce type pour observer les zones de formation. L'objectif de la campagne était de suivre des évènements dépressionnaires de leur formation à leur maturité en coordonnant l'action des différents moyens. Cette coordination était assurée depuis un centre de prévision installé spécialement à Shannon en Irlande.
Irlande - Shannon - meteorologie et prevision des tempetes atlantiques : Les scientifiques effectuent des relevés à bord d'un avion dans le cadre du programme international FASTEX (Fronts and Atlantic Storm-Track EXperiment) sur la météo et plus precisement sur les cyclones et les dépressions. La campagne de mesure Fastex : La prévision de la formation et de l'evolution des depressions au-dessus de l'ocean Atlantique reste une question difficile en depit des progrès de la prevision numerique. L'experience Fastex est un projet tres ambitieux centre sur ce sujet realise en collaboration avec de nombreux partenaires, dont le CNRS en France et la plupart des services meteorologiques de la façade atlantique. Pour ce faire, une importante campagne de mesures s'est déroulée en janvier et février 1997. Elle impliquait près de 30 stations de radiosondages autour de l'Atlantique nord, ....2 avions à long rayon d'action, dont l'un traversait régulièrement l'océan, 3 avions équipés pour l'étude détaillée des systèmes nuageux, ainsi que la participation temporaire de 2 autres avions de ce type pour observer les zones de formation. L'objectif de la campagne était de suivre des évènements dépressionnaires de leur formation à leur maturité en coordonnant l'action des différents moyens. Cette coordination était assurée depuis un centre de prévision installé spécialement à Shannon en Irlande.
France : les Observatoires des Alpes de Hautes Provence : l'Observatoire de Haute Provence. Devant le bâtiment du réseau NDSC : l'ingénieur Guy Tournois, responsable de la station, aidé de Pierre Da Conceicao, technicien responsable du lancement des ballons et du spectrophotomètre, prépare le lancement d'un ballon. Les sondes de mesures électrochimiques sont embarquées, sous le ballon (gonflé à l'hélium) et permettent la mesure par télémétrie de la concentration d'ozone, des variables de pression, de température, d'humidité, depuis le sol (O m.) jusqu'à prés de 30 Kms d'altitude. Le Réseau NSDC (Network of Detection of Stratosferic Changes mis en oeuvre en 1991) d'observation et d'études des couches de la Stratosphère et de la couche d'Ozone
France : les Observatoires des Alpes de Hautes Provence et des Hautes Alpes, à Saint Véran, la commune la plus haute d'Europe, à près de 2 000 mètres, dans le Parc du Queyras, se trouve la station de l'observatoire du Pic de Château-Renard ( 2 990 mètres d'alt.) appartenant au CNRS. Mais laissé en gestion à l'association d'astronome amateur Astro-Queyras, pour cause d'accés trop difficile pour les scientifiques. Cette association s'est retrouvée autours de son président : Jean-Christophe Le Floch (astro amateur lunette devant cafetière ), le 8 juin 2004, pour l'observation du passage de Vénus, devant le Soleil : phénomène attendu depuis 1882. Les membres de l'asso : Sophie Barras (astro amateur, la seule femme), Jean-François Touillard (astro amateur), Olivier Joseph (photographe sous la coupole & astro amateur), Jacques Adda (astro amateur), Sébastien Brouillard (astro amateur), et un ami Claude Pambrun (ingènieur CNRS/station GPS du Pic de Chateau-Renard) responsable de certains instruments de la station. Autour les paysages du Parc Régional du Queyras. Vue depuis l'observatoire : Crête de Caramagne (nord est), Crête de la Taillante (est), Crête du Mourre-Froid (nord), Tête de Longet 3151m (sud), Tête des Toillies 3176m (sud), Col Agnei 3 028m (est), Pic Caramatran 3 026m (sud est), le Gd Queyras 3 114m (nord est), le Viso 2 425m (est), Le Pain de Sucre 3 211m (est)...