© Camille MILLERAND / Divergence
« Normalement, on doit faire des études. On arrête l'école parce qu'il n'y a pas de débouché. Quand tu dis que tu viens de Bab el Oued, on te prend pour un vampire. Du coup, on fait des petits boulots au noir et la police vient saisir la marchandise". Nabil, 29 ans, tient un petit commerce à Bab el Oued.
Lieu : Alger, Algérie
Mots clés : jeunesse, algerie, alger, bab-el-oued, immeuble, précarité