12 août 2013
Birmanie : Rohingyas, une minorité sans voix.
© Bruno AMSELLEM / Divergence
Camps de déplacés Rohingyas ou plus de 150 000 personnes de cette communauté musulmane sont confinées depuis les émeutes de juin 2012, et subissent des persécutions de la communauté boudhiste. Funérailles de Noor Hankis, 4 ans, décédée de l'hépatite C. Le taux de mortalité est particulièrement élevé chez les femmes et les enfants. Sittwe, Birmanie, août 2013
Lieu : Sittwe, Birmanie
Mots clés : enfants, mort, décès, mortalité infantile, mortalité, Sittwe, société, sociétés, survie, religion, précarité, réfugié, réfugiés, populations, population, Myanmar, musulmans, minorité ethnique, migrant, logements précaires, mal-logé, mal-logés, logement logement précaire, islam, islamisme, insalubrités, insalubrité, expatriés, conditions de vie, condition de vie, Arakan, Asie, Asie du sud-est, Birmanie, camp de déplacés, camp de réfugié, camp de réfugiés, funéraille, funérailles, théologie, Rohingyas, Rohingya, pauvreté, musulman, misère, minorités, minorité, migrants, logements, expatrié, exilé, exclusion, ethnie, enfermement, émigrés, émigré, communauté musulmane, communauté ethnique, camps de refugiés, camps de refugié, camps de déplacés, apatrides, apatride