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Camps de déplacés Rohingyas ou plus de 150 000 personnes de cette communauté musulmane sont confinées depuis les émeutes de juin 2012, et subissent des persécutions de la communauté boudhiste. Nabi Hussen est venu déposé le corp de sa fille de 4 ans, décédée de l'hépatite C au dispensaire de Dapaing, le seul pour l'ensemble des camps. Les patients n'ont accès à aucun traitement. Le taux de mortalité est particulièrement élevé chez les femmes et les enfants. Sittwe, Birmanie, août 2013
Lieu : Sittwe, Birmanie
Mots clés : dispensaire, soins médicaux, hôpital, enfants, théologie, mortalité, mortalité infantile, société, Sittwe, Rohingyas, populations, pauvreté, population, Myanmar, migrants, minorité, minorité ethnique, communauté musulmane, communauté ethnique, camps de refugiés, camps de refugié, camp de déplacés, camp de réfugié, camp de réfugiés, mal-logés, Birmanie, apatride, apatrides, mort, décès, survie, Rohingya, religion, réfugiés, réfugié, précarité, musulmans, musulman, misère, minorités, migrant, mal-logé, logements, logement logement précaire, islamisme, islam, insalubrité, expatriés, expatrié, exilé, exclusion, ethnie, enfermement, émigrés, émigré, conditions de vie, condition de vie, camps de déplacés, Asie, Asie du sud-est, Arakan, logements précaires, insalubrités, sociétés