© Jean-Michel TURPIN / Divergence
La maison d’arrêt est administrée par une régisseuse et trois gardiennes de prison. Les femmes qui purgent leur peine se sentent en sécurité. Avant la création d'établissements spécialement destinés aux femmes en 2010, elles étaient enfermées dans des prisons pour homme et étaient victimes d'harcèlement et de violences sexuelles
Lieu : Bossangoa, Republique de Centrafrique
Mots clés : détenues, justice, République de Centrafrique, femme, femmes, Afrique, prison, republique centrafricaine, sécurité, maison d'arrêt, gardienne, droits de l'homme, détenu, violences sexuelles, Centrafrique, RCA, violence, prison pour femme, enfermement, mousitiquaire, bossangoa, gêole, surveillante, pénitencier, population pénale, pénale