En 1956, des Français d'Indochine, rapatriés après la défaite de la puissance coloniale, sont installés dans un ancien camp militaire, sans confort, à Sainte-Livrade (Lot-et-Garonne). Originaires pour la plupart du Nord-Vietnam, considérés comme des traîtres par le Viêt-minh, ces Français(es) étaient les enfants ou les conjointes de militaires français, souvent décédés au combat. Aujourd’hui, ils ne sont plus qu’environ 200 à occuper ces baraquements, faits de parpaings et de tôles ondulées, devenus insalubres. Le camp va être entièrement rénové. chaque rangée d’habitations va être détruite et reconstruite à neuf. Avec cette rénovation et la disparition progressive des « anciens », c’est tout un pan de l’histoire, celle de ces oubliés d’Indochine, qui va aussi partir.
© Alain GUILHOT / Divergence
Depuis 1956, des Français d'Indochine, rapatriés après la défaite de la puissance coloniale, vivent dans un ancien camp militaire, devenu insalubre, à Sainte Livrade sur Lot (Lot et Garonne).Céremonie du Leng Dong devant l'autel des Génies dans la pièce principale de la maison de la famille Cazes, qui a été transformée en pagode.
Depuis 1956, des Français d'Indochine, rapatriés après la défaite de la puissance coloniale, vivent dans un ancien camp militaire, devenu insalubre, à Sainte Livrade sur Lot (Lot et Garonne).Vie quotidienne dans le camp. Femme portant le chapeau traditionnel d'Indochine, devant une lignée de baraquements.
Depuis 1956, des Français d'Indochine, rapatriés après la défaite de la puissance coloniale, vivent dans un ancien camp militaire, devenu insalubre, à Sainte Livrade sur Lot (Lot et Garonne).Vie quotidienne dans le camp. Femme portant le chapeau traditionnel d'Indochine, devant une lignée de baraquements.
Depuis 1956, des Français d'Indochine, rapatriés après la défaite de la puissance coloniale, vivent dans un ancien camp militaire, devenu insalubre, à Sainte Livrade sur Lot (Lot et Garonne).Vie quotidienne dans le camp. Femme portant le chapeau traditionnel d'Indochine, devant une lignée de baraquements.
Depuis 1956, des Français d'Indochine, rapatriés après la défaite de la puissance coloniale, vivent dans un ancien camp militaire, devenu insalubre, à Sainte Livrade sur Lot (Lot et Garonne).Vie quotidienne dans le camp. Femme portant le chapeau traditionnel d'Indochine, devant une lignée de baraquements.
Depuis 1956, des Français d'Indochine, rapatriés après la défaite de la puissance coloniale, vivent dans un ancien camp militaire, devenu insalubre, à Sainte Livrade sur Lot (Lot et Garonne). Vue d'une partie des vieux baraquements, pas encore démolis dans le cadre d'un plan de réhabilitation du camp d'ici 2012.
Depuis 1956, des Français d'Indochine, rapatriés après la défaite de la puissance coloniale, vivent dans un ancien camp militaire, devenu insalubre, à Sainte Livrade sur Lot (Lot et Garonne). Vue d'une partie des vieux baraquements, pas encore démolis dans le cadre d'un plan de réhabilitation du camp d'ici 2012.
Depuis 1956, des Français d'Indochine, rapatriés après la défaite de la puissance coloniale, vivent dans un ancien camp militaire, devenu insalubre, à Sainte Livrade sur Lot (Lot et Garonne). Habitations inoccupées, certaines portes sont murées, il ne reste plus que 200 habitants dans le camp.
Depuis 1956, des Français d'Indochine, rapatriés après la défaite de la puissance coloniale, vivent dans un ancien camp militaire, devenu insalubre, à Sainte Livrade sur Lot (Lot et Garonne). Peinture représentant la baie d'Along sur des toilettes d'une ligné de baraquements (les toilettes sont en dehors des maisons et partagées entre les familles).
Depuis 1956, des Français d'Indochine, rapatriés après la défaite de la puissance coloniale, vivent dans un ancien camp militaire, devenu insalubre, à Sainte Livrade sur Lot (Lot et Garonne). Boîtes aux lettres des habitants.
Depuis 1956, des Français d'Indochine, rapatriés après la défaite de la puissance coloniale, vivent dans un ancien camp militaire, devenu insalubre, à Sainte Livrade sur Lot (Lot et Garonne). Sur l'unique cabine téléphonique du camp, on peut lire: "Vietnam sur Lot"; "Le camp des oubliés"; "Oubliez nous mais nous on vous oubliera pas".
Depuis 1956, des Français d'Indochine, rapatriés après la défaite de la puissance coloniale, vivent dans un ancien camp militaire, devenu insalubre, à Sainte Livrade sur Lot (Lot et Garonne). Fête du Têt au camp avec au premier plan une partie des baraquements détruits pour cause de réabilitation.
Depuis 1956, des Français d'Indochine, rapatriés après la défaite de la puissance coloniale, vivent dans un ancien camp militaire, devenu insalubre, à Sainte Livrade sur Lot (Lot et Garonne). Le camp est en cours de réhabilitation: les anciens baraquements son détruits au fur et à mesure que des logements neufs sont construits. Fin des travaux prévus en 2012.
Depuis 1956, des Français d'Indochine, rapatriés après la défaite de la puissance coloniale, vivent dans un ancien camp militaire, devenu insalubre, à Sainte Livrade sur Lot (Lot et Garonne). Le camp est en cours de réhabilitation: les anciens baraquements son détruits au fur et à mesure que des logements neufs sont construits. Fin des travaux prévus en 2012.
Depuis 1956, des Français d'Indochine, rapatriés après la défaite de la puissance coloniale, vivent dans un ancien camp militaire, devenu insalubre, à Sainte Livrade sur Lot (Lot et Garonne). Intérieur de chez un habitant.
Depuis 1956, des Français d'Indochine, rapatriés après la défaite de la puissance coloniale, vivent dans un ancien camp militaire, devenu insalubre, à Sainte Livrade sur Lot (Lot et Garonne). Statue de la Vierge dans le camp, à côté d'une chapelle. Certains Indochinois sont catholiques.
Depuis 1956, des Français d'Indochine, rapatriés après la défaite de la puissance coloniale, vivent dans un ancien camp militaire, devenu insalubre, à Sainte Livrade sur Lot (Lot et Garonne). Il ne reste plus que qu'une vingtaine de personnes de celles arrivées à l'âge adulte en 1956. Ce sont essentiellement des femmes veuves, venues avec leurs enfants et chassées du Nord-Vietnam.
Depuis 1956, des Français d'Indochine, rapatriés après la défaite de la puissance coloniale, vivent dans un ancien camp militaire, devenu insalubre, à Sainte Livrade sur Lot (Lot et Garonne). Chez Gontran, une des deux épiceries exotique qui fait aussi restaurant.
Depuis 1956, des Français d'Indochine, rapatriés après la défaite de la puissance coloniale, vivent dans un ancien camp militaire, devenu insalubre, à Sainte Livrade sur Lot (Lot et Garonne). Chez Gontran, une des deux épiceries exotique qui fait aussi restaurant, Indochinois et habitants des environs viennent y faire leurs courses.
Depuis 1956, des Français d'Indochine, rapatriés après la défaite de la puissance coloniale, vivent dans un ancien camp militaire, devenu insalubre, à Sainte Livrade sur Lot (Lot et Garonne). Hélène Mutos, née à Hanoï d'un père militaire français tué en 1950 et d'une Indochinoise, est arrivée à l'âge de 9 ans au Cafi avec sa mère et ses frères et soeurs. Elle prie ici Bouddha devant l'autel qu'elle a installé à l'interieur de chez elle.
Depuis 1956, des Français d'Indochine, rapatriés après la défaite de la puissance coloniale, vivent dans un ancien camp militaire, devenu insalubre, à Sainte Livrade sur Lot (Lot et Garonne). Chaque année, la Fête du Têt est célébrée. Devant chaque pas de porte, est mimée la danse du génie de la Terre face au dragon dont il doit calmer les ardeurs. L'Association des résidents et amis du Cafi (Arac) tente de conserver les traditions.
Depuis 1956, des Français d'Indochine, rapatriés après la défaite de la puissance coloniale, vivent dans un ancien camp militaire, devenu insalubre, à Sainte Livrade sur Lot (Lot et Garonne). Chaque année, la Fête du Têt est célébrée. Devant chaque pas de porte, est mimée la danse du génie de la Terre face au dragon dont il doit calmer les ardeurs. L'Association des résidents et amis du Cafi (Arac) tente de conserver les traditions.
Depuis 1956, des Français d'Indochine, rapatriés après la défaite de la puissance coloniale, vivent dans un ancien camp militaire, devenu insalubre, à Sainte Livrade sur Lot (Lot et Garonne). Chaque année, la Fête du Têt est célébrée. Devant chaque pas de porte, est mimée la danse du génie de la Terre face au dragon dont il doit calmer les ardeurs. L'Association des résidents et amis du Cafi (Arac) tente de conserver les traditions.
Depuis 1956, des Français d'Indochine, rapatriés après la défaite de la puissance coloniale, vivent dans un ancien camp militaire, devenu insalubre, à Sainte Livrade sur Lot (Lot et Garonne). Chaque année, la Fête du Têt est célébrée. Devant chaque pas de porte, est mimée la danse du génie de la Terre face au dragon dont il doit calmer les ardeurs. L'Association des résidents et amis du Cafi (Arac) tente de conserver les traditions. Ici, le cortège est entré dans une des deux épiceries du camp.
Depuis 1956, des Français d'Indochine, rapatriés après la défaite de la puissance coloniale, vivent dans un ancien camp militaire, devenu insalubre, à Sainte Livrade sur Lot (Lot et Garonne). Chaque année, la Fête du Têt est célébrée. Devant chaque pas de porte, est mimée la danse du génie de la Terre face au dragon dont il doit calmer les ardeurs. L'Association des résidents et amis du Cafi (Arac) tente de conserver les traditions.
Depuis 1956, des Français d'Indochine, rapatriés après la défaite de la puissance coloniale, vivent dans un ancien camp militaire, devenu insalubre, à Sainte Livrade sur Lot (Lot et Garonne). Chaque année, la Fête du Têt est célébrée. Devant chaque pas de porte, est mimée la danse du génie de la Terre face au dragon dont il doit calmer les ardeurs. L'Association des résidents et amis du Cafi (Arac) tente de conserver les traditions. Ici, le génie de la Terre pose devant une peinture de la baie d'Along, réalisée sur le mur de toilettes. On peut lire l'inscription ajoutée lors des 50 ans du camp :"Cari 1956 (Centre d'accueil des rapatriés d'Indochine) - Cafi 2006 (Centre d'accueil des Français d'Indochine)".
Depuis 1956, des Français d'Indochine, rapatriés après la défaite de la puissance coloniale, vivent dans un ancien camp militaire, devenu insalubre, à Sainte Livrade sur Lot (Lot et Garonne). Chaque année, la Fête du Têt est célébrée. Devant chaque pas de porte, est mimée la danse du génie de la Terre face au dragon dont il doit calmer les ardeurs. L'Association des résidents et amis du Cafi (Arac) tente de conserver les traditions. Ici, Claudine Cazes, née au Cafi en 1957, affronte le dragon dans une danse.
Depuis 1956, des Français d'Indochine, rapatriés après la défaite de la puissance coloniale, vivent dans un ancien camp militaire, devenu insalubre, à Sainte Livrade sur Lot (Lot et Garonne). Chaque année, la Fête du Têt est célébrée. Devant chaque pas de porte, est mimée la danse du génie de la Terre face au dragon dont il doit calmer les ardeurs. Ici, Claudine Cazes, née au Cafi en 1957, affronte le dragon dans une danse à l'intérieur de la maison de sa mère, dont une pièce est transformée en pagode.
Depuis 1956, des Français d'Indochine, rapatriés après la défaite de la puissance coloniale, vivent dans un ancien camp militaire, devenu insalubre, à Sainte Livrade sur Lot (Lot et Garonne). Chaque année, la Fête du Têt est célébrée. Devant chaque pas de porte, est mimée la danse du génie de la Terre face au dragon dont il doit calmer les ardeurs. Ici, Claudine Cazes, née au Cafi en 1957, affronte le dragon dans une danse à l'intérieur de la maison de sa mère, dont une pièce est transformée en pagode.
Depuis 1956, des Français d'Indochine, rapatriés après la défaite de la puissance coloniale, vivent dans un ancien camp militaire, devenu insalubre, à Sainte Livrade sur Lot (Lot et Garonne).Céremonie du Leng Dong devant l'autel des Génies dans la pièce principale de la maison de la famille Cazes, qui a été transformée en pagode.
Depuis 1956, des Français d'Indochine, rapatriés après la défaite de la puissance coloniale, vivent dans un ancien camp militaire, devenu insalubre, à Sainte Livrade sur Lot (Lot et Garonne).Céremonie du Leng Dong devant l'autel des Génies dans la pièce principale de la maison de la famille Cazes, qui a été transformée en pagode.
Depuis 1956, des Français d'Indochine, rapatriés après la défaite de la puissance coloniale, vivent dans un ancien camp militaire, devenu insalubre, à Sainte Livrade sur Lot (Lot et Garonne).Céremonie du Leng Dong devant l'autel des Génies dans la pièce principale de la maison de la famille Cazes, qui a été transformée en pagode.
Depuis 1956, des Français d'Indochine, rapatriés après la défaite de la puissance coloniale, vivent dans un ancien camp militaire, devenu insalubre, à Sainte Livrade sur Lot (Lot et Garonne).Céremonie du Leng Dong devant l'autel des Génies dans la pièce principale de la maison de la famille Cazes, qui a été transformée en pagode.
Depuis 1956, des Français d'Indochine, rapatriés après la défaite de la puissance coloniale, vivent dans un ancien camp militaire, devenu insalubre, à Sainte Livrade sur Lot (Lot et Garonne).Céremonie du Leng Dong devant l'autel des Génies dans la pièce principale de la maison de la famille Cazes, qui a été transformée en pagode.
Depuis 1956, des Français d'Indochine, rapatriés après la défaite de la puissance coloniale, vivent dans un ancien camp militaire, devenu insalubre, à Sainte Livrade sur Lot (Lot et Garonne).Céremonie du Leng Dong devant l'autel des Génies dans la pièce principale de la maison de la famille Cazes, qui a été transformée en pagode.
Depuis 1956, des Français d'Indochine, rapatriés après la défaite de la puissance coloniale, vivent dans un ancien camp militaire, devenu insalubre, à Sainte Livrade sur Lot (Lot et Garonne).Céremonie du Leng Dong devant l'autel des Génies dans la pièce principale de la maison de la famille Cazes, qui a été transformée en pagode.
Depuis 1956, des Français d'Indochine, rapatriés après la défaite de la puissance coloniale, vivent dans un ancien camp militaire, devenu insalubre, à Sainte Livrade sur Lot (Lot et Garonne).Céremonie du Leng Dong devant l'autel des Génies dans la pièce principale de la maison de la famille Cazes, qui a été transformée en pagode.
Depuis 1956, des Français d'Indochine, rapatriés après la défaite de la puissance coloniale, vivent dans un ancien camp militaire, devenu insalubre, à Sainte Livrade sur Lot (Lot et Garonne).Céremonie du Leng Dong devant l'autel des Génies dans la pièce principale de la maison de la famille Cazes, qui a été transformée en pagode.
Depuis 1956, des Français d'Indochine, rapatriés après la défaite de la puissance coloniale, vivent dans un ancien camp militaire, devenu insalubre, à Sainte Livrade sur Lot (Lot et Garonne).Céremonie du Leng Dong devant l'autel des Génies dans la pièce principale de la maison de la famille Cazes, qui a été transformée en pagode.
Depuis 1956, des Français d'Indochine, rapatriés après la défaite de la puissance coloniale, vivent dans un ancien camp militaire, devenu insalubre, à Sainte Livrade sur Lot (Lot et Garonne).Céremonie du Leng Dong devant l'autel des Génies dans la pièce principale de la maison de la famille Cazes, qui a été transformée en pagode.
Depuis 1956, des Français d'Indochine, rapatriés après la défaite de la puissance coloniale, vivent dans un ancien camp militaire, devenu insalubre, à Sainte Livrade sur Lot (Lot et Garonne).Céremonie du Leng Dong devant l'autel des Génies dans la pièce principale de la maison de la famille Cazes, qui a été transformée en pagode.
Depuis 1956, des Français d'Indochine, rapatriés après la défaite de la puissance coloniale, vivent dans un ancien camp militaire, devenu insalubre, à Sainte Livrade sur Lot (Lot et Garonne).Céremonie du Leng Dong devant l'autel des Génies dans la pièce principale de la maison de la famille Cazes, qui a été transformée en pagode.
Depuis 1956, des Français d'Indochine, rapatriés après la défaite de la puissance coloniale, vivent dans un ancien camp militaire, devenu insalubre, à Sainte Livrade sur Lot (Lot et Garonne).Cérémonie du Leng Dong devant l'autel des Génies dans la pièce principale de la maison de la famille Cazes, qui a été transformée en pagode. Y participent les trois générations de la famille.
Depuis 1956, des Français d'Indochine, rapatriés après la défaite de la puissance coloniale, vivent dans un ancien camp militaire, devenu insalubre, à Sainte Livrade sur Lot (Lot et Garonne).Cérémonie du Leng Dong devant l'autel des Génies dans la pièce principale de la maison de la famille Cazes, qui a été transformée en pagode. Ici Madame Ngoe Wong Cazes, 89 ans, participe à la cérémonie. Arrivée au camp en 1956 avec son mari, elle a eu 16 enfants. Elle a reçu en 1962 la médaille d'or de la Famille française. Elle vit dans le même baraquement depuis son arrivée.
Depuis 1956, des Français d'Indochine, rapatriés après la défaite de la puissance coloniale, vivent dans un ancien camp militaire, devenu insalubre, à Sainte Livrade sur Lot (Lot et Garonne). Charles-Pierre Maniquant, né à Hanoi en 1927, est un ancien parachutiste dans l'armée française. Résistant à 17 ans en Indochine contre l'invasion japonaise. Dans l'infanterie de marine, il a fait toute la guerre d'Indochine. Et s'est engagé dans les paras en 1954 pour pouvoir sauter sur Dien Bien Phu: «On savait que c'était perdu, mais j'avais des amis là-bas.» Rapatrié, il est envoyé en Algérie en 1957. Cinq ans dans le djebel. Une flopée de médailles, quatre citations. A sa retraite, en 1966, il a choisi de venir vivre au Cafi. «Je voulais retrouver une ambiance.» L'attachement au drapeau est intact.
Depuis 1956, des Français d'Indochine, rapatriés après la défaite de la puissance coloniale, vivent dans un ancien camp militaire, devenu insalubre, à Sainte Livrade sur Lot (Lot et Garonne). La troisième génération du camp: peu de jeunes y habitent encore mais beaucoup y viennent les week-ends et en vacances. Ici, Damien Crasbercu, 18 ans, Anaelle Le Thi Nghiem, 18 ans, Vincent Modeste, 16 ans, et Cédric Gaze, 18 ans.
Depuis 1956, des Français d'Indochine, rapatriés après la défaite de la puissance coloniale, vivent dans un ancien camp militaire, devenu insalubre, à Sainte Livrade sur Lot (Lot et Garonne). Né à Villeneuve-sur-Lot en 1957, d'un père militaire français et d'une mère indochinoise alors que tous ses frères et soeurs sont nés à Hanoï, Patrick Fernand a grandi au camp. Il n'y vit plus mais ce policier de 53 ans est à la tête de l'Association des amis et résidents du Cafi (Arac) qui tente de perpétuer les traditions dans le camp. Tous les ans, il endosse le rôle du génie de la Terre lors de la Fête du Têt.
Depuis 1956, des Français d'Indochine, rapatriés après la défaite de la puissance coloniale, vivent dans un ancien camp militaire, devenu insalubre, à Sainte Livrade sur Lot (Lot et Garonne). Emile Lejeune, 89 ans, est un ancien militaire du corps expéditionnaire français, fils d'un magistrat français et d'une princesse, petite-fille de l'empereur Minh Mang. Il fut prisonnier des Japonais pendant la Seconde Guerre mondiale puis des Viet-congs pendant la guerre d'Indochine. Rapatrié en France avec sa mère en 1956, passés par différents camps, ils s'installent au Cafi en 196
Depuis 1956, des Français d'Indochine, rapatriés après la défaite de la puissance coloniale, vivent dans un ancien camp militaire, devenu insalubre, à Sainte Livrade sur Lot (Lot et Garonne). Hélène Mutos, née à Hanoï d'un père militaire français tué en 1950 et d'une Indochinoise, est arrivée à l'âge de 9 ans au Cafi avec sa mère et ses frères et soeurs. Ici, sur la pas de porte de la maison où elle a toujours vécu.
Depuis 1956, des Français d'Indochine, rapatriés après la défaite de la puissance coloniale, vivent dans un ancien camp militaire, devenu insalubre, à Sainte Livrade sur Lot (Lot et Garonne). Joséphine Le Crenn, 98 ans, la doyenne du camp, est arrivée en 1956 avec ses six enfants. Ici, dans sa chambre à coucher.
Depuis 1956, des Français d'Indochine, rapatriés après la défaite de la puissance coloniale, vivent dans un ancien camp militaire, devenu insalubre, à Sainte Livrade sur Lot (Lot et Garonne). Né en 1942 à Hanoï, Jean-Claude Rogliano est arrivé au Cafi avec ses parents en 1956. Envoyé à l'école des enfants de troupe à Autun, en Bourgogne, il venait pendant les vacances voir sa famille. Après sa carrière militaire, il s'est installé en 1965 au camp. Il a travaillé comme ouvrier dans l'usine de chaussures installée dans le camp et dans une usine de conserveries. Il est devenu ensuite agent SNCF en 1968. Ici il pose dans son ancien logement qui va etre détruit.
Depuis 1956, des Français d'Indochine, rapatriés après la défaite de la puissance coloniale, vivent dans un ancien camp militaire, devenu insalubre, à Sainte Livrade sur Lot (Lot et Garonne). Hélène Mutos, née à Hanoï d'un père militaire français tué en 1950 et d'une Indochinoise, est arrivée à l'âge de 9 ans au Cafi avec sa mère et ses frères et soeurs. Ici, elle est devant une des partie des baraquements qui vont etre détruits.
Depuis 1956, des Français d'Indochine, rapatriés après la défaite de la puissance coloniale, vivent dans un ancien camp militaire, devenu insalubre, à Sainte Livrade sur Lot (Lot et Garonne). Vue d'une partie des vieux baraquements, qui vont etre démolis dans le cadre d'un plan de réhabilitation du camp d'ici 2012.
Depuis 1956, des Français d'Indochine, rapatriés après la défaite de la puissance coloniale, vivent dans un ancien camp militaire, devenu insalubre, à Sainte Livrade sur Lot (Lot et Garonne). Vue d'une partie des vieux baraquements, qui vont etre démolis dans le cadre d'un plan de réhabilitation du camp d'ici 2012.
Depuis 1956, des Français d'Indochine, rapatriés après la défaite de la puissance coloniale, vivent dans un ancien camp militaire, devenu insalubre, à Sainte Livrade sur Lot (Lot et Garonne). Vue d'une partie des vieux baraquements, qui vont etre démolis dans le cadre d'un plan de réhabilitation du camp d'ici 2012.
Depuis 1956, des Français d'Indochine, rapatriés après la défaite de la puissance coloniale, vivent dans un ancien camp militaire, devenu insalubre, à Sainte Livrade sur Lot (Lot et Garonne). Vue d'une partie des vieux baraquements, qui vont etre démolis dans le cadre d'un plan de réhabilitation du camp d'ici 2012.
Depuis 1956, des Français d'Indochine, rapatriés après la défaite de la puissance coloniale, vivent dans un ancien camp militaire, devenu insalubre, à Sainte Livrade sur Lot (Lot et Garonne). Vue d'une partie des vieux baraquements, qui vont etre démolis dans le cadre d'un plan de réhabilitation du camp d'ici 2012.
Depuis 1956, des Français d'Indochine, rapatriés après la défaite de la puissance coloniale, vivent dans un ancien camp militaire, devenu insalubre, à Sainte Livrade sur Lot (Lot et Garonne). Vue interieure des habitations d'une partie des vieux baraquements, qui vont etre démolis dans le cadre d'un plan de réhabilitation du camp d'ici 2012.
Depuis 1956, des Français d'Indochine, rapatriés après la défaite de la puissance coloniale, vivent dans un ancien camp militaire, devenu insalubre, à Sainte Livrade sur Lot (Lot et Garonne). Vue interieure des habitations d'une partie des vieux baraquements, qui vont etre démolis dans le cadre d'un plan de réhabilitation du camp d'ici 2012.
Depuis 1956, des Français d'Indochine, rapatriés après la défaite de la puissance coloniale, vivent dans un ancien camp militaire, devenu insalubre, à Sainte Livrade sur Lot (Lot et Garonne). Vue interieure des habitations d'une partie des vieux baraquements, qui vont etre démolis dans le cadre d'un plan de réhabilitation du camp d'ici 2012.
Depuis 1956, des Français d'Indochine, rapatriés après la défaite de la puissance coloniale, vivent dans un ancien camp militaire, devenu insalubre, à Sainte Livrade sur Lot (Lot et Garonne). Vue interieure des habitations d'une partie des vieux baraquements, qui vont etre démolis dans le cadre d'un plan de réhabilitation du camp d'ici 2012.
Depuis 1956, des Français d'Indochine, rapatriés après la défaite de la puissance coloniale, vivent dans un ancien camp militaire, devenu insalubre, à Sainte Livrade sur Lot (Lot et Garonne). Vue interieure des habitations d'une partie des vieux baraquements, qui vont etre démolis dans le cadre d'un plan de réhabilitation du camp d'ici 2012.
Depuis 1956, des Français d'Indochine, rapatriés après la défaite de la puissance coloniale, vivent dans un ancien camp militaire, devenu insalubre, à Sainte Livrade sur Lot (Lot et Garonne). Les anciennes toilettes d'une partie des vieux baraquements, qui vont etre démolis dans le cadre d'un plan de réhabilitation du camp d'ici 2012..
Depuis 1956, des Français d'Indochine, rapatriés après la défaite de la puissance coloniale, vivent dans un ancien camp militaire, devenu insalubre, à Sainte Livrade sur Lot (Lot et Garonne). Vue d'une partie des vieux baraquements, qui vont etre démolis dans le cadre d'un plan de réhabilitation du camp d'ici 2012 avec en fond les nouveaux logements.
Depuis 1956, des Français d'Indochine, rapatriés après la défaite de la puissance coloniale, vivent dans un ancien camp militaire, devenu insalubre, à Sainte Livrade sur Lot (Lot et Garonne). Vue d'une partie des vieux baraquements, qui vont etre démolis dans le cadre d'un plan de réhabilitation du camp d'ici 2012.
Depuis 1956, des Français d'Indochine, rapatriés après la défaite de la puissance coloniale, vivent dans un ancien camp militaire, devenu insalubre, à Sainte Livrade sur Lot (Lot et Garonne). Vue d'une partie des vieux baraquements, qui vont etre démolis dans le cadre d'un plan de réhabilitation du camp d'ici 2012 avec en fond les nouveaux logements.
Depuis 1956, des Français d'Indochine, rapatriés après la défaite de la puissance coloniale, vivent dans un ancien camp militaire, devenu insalubre, à Sainte Livrade sur Lot (Lot et Garonne). Destruction d'une partie des vieux baraquements, dans le cadre d'un plan de réhabilitation du camp d'ici 2012 avec en fond les nouveaux logements.
Depuis 1956, des Français d'Indochine, rapatriés après la défaite de la puissance coloniale, vivent dans un ancien camp militaire, devenu insalubre, à Sainte Livrade sur Lot (Lot et Garonne). Destruction d'une partie des vieux baraquements, dans le cadre d'un plan de réhabilitation du camp d'ici 2012.
Depuis 1956, des Français d'Indochine, rapatriés après la défaite de la puissance coloniale, vivent dans un ancien camp militaire, devenu insalubre, à Sainte Livrade sur Lot (Lot et Garonne). Destruction d'une partie des vieux baraquements, dans le cadre d'un plan de réhabilitation du camp d'ici 2012.
Depuis 1956, des Français d'Indochine, rapatriés après la défaite de la puissance coloniale, vivent dans un ancien camp militaire, devenu insalubre, à Sainte Livrade sur Lot (Lot et Garonne). Destruction d'une partie des vieux baraquements, dans le cadre d'un plan de réhabilitation du camp d'ici 2012.
Depuis 1956, des Français d'Indochine, rapatriés après la défaite de la puissance coloniale, vivent dans un ancien camp militaire, devenu insalubre, à Sainte Livrade sur Lot (Lot et Garonne). Destruction d'une partie des vieux baraquements, dans le cadre d'un plan de réhabilitation du camp d'ici 2012.
Depuis 1956, des Français d'Indochine, rapatriés après la défaite de la puissance coloniale, vivent dans un ancien camp militaire, devenu insalubre, à Sainte Livrade sur Lot (Lot et Garonne). Destruction d'une partie des vieux baraquements, dans le cadre d'un plan de réhabilitation du camp d'ici 2012 avec en fond les nouveaux logements.
Depuis 1956, des Français d'Indochine, rapatriés après la défaite de la puissance coloniale, vivent dans un ancien camp militaire, devenu insalubre, à Sainte Livrade sur Lot (Lot et Garonne). Destruction d'une partie des vieux baraquements, dans le cadre d'un plan de réhabilitation du camp d'ici 2012 avec en fond les nouveaux logements.
Depuis 1956, des Français d'Indochine, rapatriés après la défaite de la puissance coloniale, vivent dans un ancien camp militaire, devenu insalubre, à Sainte Livrade sur Lot (Lot et Garonne). Une partie des nouveaux logements dans le cadre d'un plan de réhabilitation du camp d'ici 2012 avec en fond les anciens baraquements.
Depuis 1956, des Français d'Indochine, rapatriés après la défaite de la puissance coloniale, vivent dans un ancien camp militaire, devenu insalubre, à Sainte Livrade sur Lot (Lot et Garonne). Une partie des nouveaux logements dans le cadre d'un plan de réhabilitation du camp d'ici 2012 avec en fond les anciens baraquements.
Depuis 1956, des Français d'Indochine, rapatriés après la défaite de la puissance coloniale, vivent dans un ancien camp militaire, devenu insalubre, à Sainte Livrade sur Lot (Lot et Garonne). Une partie des nouveaux logements dans le cadre d'un plan de réhabilitation du camp d'ici 2012 avec en fond les anciens baraquements.
Depuis 1956, des Français d'Indochine, rapatriés après la défaite de la puissance coloniale, vivent dans un ancien camp militaire, devenu insalubre, à Sainte Livrade sur Lot (Lot et Garonne). Le camp est en cours de réhabilitation: les anciens baraquements son détruits au fur et à mesure que des logements neufs sont construits. Fin des travaux prévus en 2012.
Depuis 1956, des Français d'Indochine, rapatriés après la défaite de la puissance coloniale, vivent dans un ancien camp militaire, devenu insalubre, à Sainte Livrade sur Lot (Lot et Garonne). Le camp est en cours de réhabilitation: les anciens baraquements son détruits au fur et à mesure que des logements neufs sont construits. Fin des travaux prévus en 2012.
Depuis 1956, des Français d'Indochine, rapatriés après la défaite de la puissance coloniale, vivent dans un ancien camp militaire, devenu insalubre, à Sainte Livrade sur Lot (Lot et Garonne). Le camp est en cours de réhabilitation: les anciens baraquements son détruits au fur et à mesure que des logements neufs sont construits. Fin des travaux prévus en 2012.
Depuis 1956, des Français d'Indochine, rapatriés après la défaite de la puissance coloniale, vivent dans un ancien camp militaire, devenu insalubre, à Sainte Livrade sur Lot (Lot et Garonne). Le camp est en cours de réhabilitation: les anciens baraquements son détruits au fur et à mesure que des logements neufs sont construits. Fin des travaux prévus en 2012.
Depuis 1956, des Français d'Indochine, rapatriés après la défaite de la puissance coloniale, vivent dans un ancien camp militaire, devenu insalubre, à Sainte Livrade sur Lot (Lot et Garonne).Vie quotidienne dans le camp. Femme portant le chapeau traditionnel d'Indochine, devant une lignée de baraquements.
Depuis 1956, des Français d'Indochine, rapatriés après la défaite de la puissance coloniale, vivent dans un ancien camp militaire, devenu insalubre, à Sainte Livrade sur Lot (Lot et Garonne). Le camp est en cours de réhabilitation: les anciens baraquements son détruits au fur et à mesure que des logements neufs sont construits. Fin des travaux prévus en 2012.
Depuis 1956, des Français d'Indochine, rapatriés après la défaite de la puissance coloniale, vivent dans un ancien camp militaire, devenu insalubre, à Sainte Livrade sur Lot (Lot et Garonne). Le camp est en cours de réhabilitation: les anciens baraquements son détruits au fur et à mesure que des logements neufs sont construits. Fin des travaux prévus en 2012.
Depuis 1956, des Français d'Indochine, rapatriés après la défaite de la puissance coloniale, vivent dans un ancien camp militaire, devenu insalubre, à Sainte Livrade sur Lot (Lot et Garonne). Le camp est en cours de réhabilitation: les anciens baraquements son détruits au fur et à mesure que des logements neufs sont construits. Fin des travaux prévus en 2012.
Depuis 1956, des Français d'Indochine, rapatriés après la défaite de la puissance coloniale, vivent dans un ancien camp militaire, devenu insalubre, à Sainte Livrade sur Lot (Lot et Garonne). Stèle en memoire de la guerre d'indochine.